Bruges 2023 : mon retour au semi-marathon !

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Je suis ravie de vous retrouver ici pour parler d’un sujet qui me réjouit particulièrement en ce moment, et que je n’avais plus abordé depuis fort longtemps ailleurs que sur Instagram. Il s’agit bien évidemment du sport et de la course à pied !
Si vous me suivez depuis un petit moment, vous savez déjà que j’adore combiner courses officielles et escapades dans de très jolis coins. Mon premier voyage lié au running remonte à 2016 à l’occasion de mon premier semi-marathon, couru à Oslo, et qui reste à ce jour l’un de mes meilleurs souvenirs.
J’avais ensuite participé au semi-marathon apocalyptique de Copenhague l’année suivante, puis à celui de l’île de Skye en 2019, dont j’avais profité pour me concocter un road-trip solo de retrouvailles avec mes endroits préférés d’Écosse.

Puis l’invité surprise dont on se serait bien passé a débarqué en 2020, et tout a été chamboulé. Même si j’ai pour ma part continué à bouger avec des randos, de la corde à sauter à la maison, ou encore le début de ma pratique de la gyrokinesis (avec Audrey à Grenoble, que je vous recommande chaudement au passage), le running est tout simplement sorti de ma vie. Zéro kilomètre au compteur en 2022…
Ça n’est que début 2023 que j’ai enfin rechaussé les baskets de manière régulière. Un petit détour par les sentiers chartrousins à l’occasion de l’Ut4M en juillet, puis me voilà revenue sur le bitume  pour attaquer la préparation de ce nouveau semi-marathon. Cette fois, c’est sur la Belgique et la magnifique ville de Bruges que mon choix se porte. J’ai la chance de déjà bien connaître le pays et il fait parti de ceux dans lesquels j’adore retourner régulièrement. Et avantage non négligeable : tout m’est accessible en train et transports en commun. Car cette année c’est décidé : je ne prends pas l’avion.

Je commence ma préparation fin juillet avec un plan sur 12 semaines, plus long donc et très différent de ce que j’avais expérimenté jusque là. Tout se déroule sans accroc, je suis motivée, le kilométrage hebdomadaire augmente régulièrement sans me causer de souci. Pour le volet course à pied pure, j’effectue 4 sorties par semaine alors que je n’avais jamais dépassé 3 par le passé, les entrainements sont répartis entre endurance fondamentale, fractionné court ou long, sorties progressives (avec des blocs de plus en plus rapides au fur et à mesure de la séance), et sorties longues.
Même la fournaise grenobloise estivale n’arrive pas à me démotiver, c’est bon signe !

Et c’est donc prête que je saute dans le train direction Bruxelles, puis Bruges le 12 octobre, trois jours avant la course. Je m’installe tranquillement dans mon studio de location à 20 minutes à pied de la ligne de départ, fais les courses pour les prochains diners et petits-déjeuners… et repars arpenter la ville presque immédiatement alors que la nuit tombe ! Le lendemain je retrouve avec plaisir la plage d’Ostende le matin, puis passe tout l’après-midi à Gand. Même si j’essaie de ménager un peu mes pieds en prenant le tram, je rentre avec deux ampoules. Pas très malin tout ça… Est-ce que je vais gâcher ces longues semaines d’entrainement avec mes bêtises ? Lire la suite

Mon semi-marathon sur l’île de Skye.

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Vous commencez à me connaitre, quand il s’agit de publier un article, je suis environ rapide comme l’éclair !
Pour ne pas déroger à cette règle d’or, je viens donc aujourd’hui vous raconter avec quelques trains de retard mon expérience sur le semi-marathon de l’île de Skye, qui a eu lieu il y a tout pile deux mois… oui oui, deux mois ! Très précisément le 8 juin 2019.

Comme certain·e·s d’entre vous doivent s’en rappeler, mon histoire avec la course à pied a été quelque peu bousculée par une saleté de mononucléose à la suite de laquelle, pour continuer à filer cette belle métaphore ferroviaire, j’ai eu du mal à raccrocher les wagons.
Cela ne m’avait tout de même pas empêché d’aller frôler l’apocalypse au semi de Copenhague fin 2017, mais depuis plus rien. Niet, nada, que dalle. Pas une seule course officielle et des entrainements chaotiques et tout sauf réguliers, alors que j’avais enfin retrouvé un tout petit peu de forme physique.

Malgré tout cela, un semi bien particulier dormait toujours dans un coin de ma tête, celui de l’île de Skye au nord-ouest de l’Écosse, dans les Hébrides intérieures.
Après avoir tergiversé environ 500 ans en 2018 pour finir par ne pas m’inscrire, j’ai cette année enfin sauté le pas et acheté l’un de 1000 dossards disponibles.

Armée de mon plus beau plan d’entrainement en 10 semaines, j’ai rechaussé les baskets pour 3 sorties hebdomadaires dès le mois d’avril (une sortie tranquille ou avec dénivelé, un fractionné, et une sortie longue). Le tout complété par un peu de vélo d’appartement, une fin de saison de snowboard, des nouvelles semelles, et des étirements journaliers. Autant vous dire que j’étais au taquet dès le départ !
Peut-être un peu trop car la fin de la prépa ne s’est pas du tout déroulée comme prévue, avec un déraillement total en semaine 8.

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Je suis donc arrivée sur la ligne de départ avec une douleur à l’intérieur de la cuisse droite et en n’ayant pas couru depuis 15 jours. Autant vous dire que je n’en menais pas large, et que je ne savais pas trop si j’allais être capable de tenir la distance.
Il m’en fallait néanmoins plus que ça pour me décourager, bien trop heureuse que j’étais de courir enfin en Écosse, sur cette belle île de Skye que je commence à connaitre dans les moindres recoins !

Ici, pas de coup de pistolet pour donner le départ, on a beaucoup mieux : les Lire la suite

Le yoga en ligne et en français avec MyQee.

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Il y a trois ans environ, j’avais publié cet article à propos de mon expérience du yoga en ligne, avec des cours en anglais. Suite à cela, plusieurs personnes m’avaient contactée afin de savoir s’il n’y avait pas d’équivalent en français.
A l’époque, le yoga en ligne n’était pas aussi développé et l’offre était donc beaucoup plus réduite ; ce qui n’est plus le cas aujourd’hui !
Il existe en effet maintenant plusieurs plateformes proposant des cours de yoga à un prix abordable et en français. Je vous propose donc de découvrir l’une d’entre elles tout de suite !

Il s’agit du site MyQee qui met à notre disposition via un abonnement mensuel (12€) ou annuel (120€) plus de 250 cours différents dans des discipline variées : plusieurs types de yoga, pilates, barre au sol, stretching, méditation, relaxation, sophrologie, qi gong.

Cette variété est à mon avis l’un des atouts majeurs du site. Pendant les trois mois environ où j’ai pratiqué avec l’aide de MyQee, j’ai en effet pu découvrir des choses que je ne connaissais pas, ou uniquement de nom.
J’ai par exemple testé le yoga nidra, qui m’a plu, et le kundalini, que je n’ai pas apprécié du tout ! J’ai également fait un peu de barre au sol, mais je me suis finalement plutôt concentrée sur la méditation et les pratiques de yoga que je connaissais déjà : Vinyasa, Ashtanga, Hata, Hata Yoga Flow.
Pour chacune de ces disciplines, des vidéos de plusieurs professeurs sont accessibles, ce qui permet de tester différentes approches.

Il est possible de sélectionner le type d’activité que l’on souhaite effectuer bien entendu, mais on peut également choisir son niveau, la durée pendant laquelle on souhaite pratiquer, ou encore la partie du corps que l’on désire travailler en priorité. Pour vous donner une petite idée, voilà à quoi tout cela ressemble :

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J’ai pour ma part trouvé le site très bien construit à ce niveau-là, tout est accessible facilement et très clairement (l’interface est d’ailleurs globalement très agréable : simple, épurée et pratique).

Il existe également des sélections thématiques concoctées par l’équipe MyQee afin de se focaliser sur un point bien particulier comme par exemple Lire la suite

Copenhague 2017 : le semi-marathon de l’apocalypse !

Bonjour, bonjour ! Me voilà de retour après un petit séjour dans la capitale danoise où j’ai passé quelques jours à l’occasion du semi-marathon.
Je souhaite aujourd’hui revenir sur cette course bien particulière qui ne risque pas de s’effacer de ma mémoire de sitôt !

L’an dernier à la même époque, je courais mon tout premier semi-marathon à Oslo, très probablement l’une de mes villes favorites au monde (oui, carrément, pourquoi s’embêter avec de la demi-mesure, hein ?!).

Cette première expérience sur 21km m’avait tellement enchantée, qu’à peine la course terminée je pensais déjà à la suivante que j’envisageais de courir en Ecosse, pays dans lequel j’aimerais beaucoup m’expatrier.
Après une petite réflexion, j’ai finalement décidé de garder l’Ecosse sous le coude pour mon premier marathon et j’ai alors choisi de mettre le cap sur Copenhague. Je connaissais vaguement la ville, mon premier passage par ses rues m’avait beaucoup plu, et j’avais en plus lu pas mal d’avis positifs sur son semi-marathon.
Je me suis donc inscrite dès le mois de mars avec l’objectif de m’entraîner correctement pour passer sous la barre symbolique des 2h.

Bien entendu, rien ne s’est passé comme prévu ! Comme vous le savez déjà, j’ai malheureusement été touchée par une vilaine mononucléose qui m’a littéralement mise à plat pendant de très longues semaines.

Début août, je ne pensais même pas pouvoir prendre le départ car je n’avais pas pu pratiquer la moindre activité physique depuis plusieurs mois. Et puis, miracle, j’ai commencé à me sentir un peu mieux et j’ai pu rechausser les baskets le 11 août. Rien de transcendant mais quand même. Si mon objectif d’1h59 n’était plus du tout d’actualité, j’étais convaincue que j’allais tout de même pouvoir courir ce semi-marathon !
Etant encore en convalescence et n’ayant pu faire que 8 sorties, j’ai pris la précaution de changer de sas de départ ; un temps de 2h15 (soit plus que sur mon premier semi) me semblait bien plus raisonnable.

Je suis arrivée à Copenhague le 14 septembre et j’ai pu repérer le départ et récupérer mon dossard dès le lendemain.
Contrairement à Oslo, le village de course n’est pas situé du tout au cœur de la ville mais dans un quartier plutôt huppé et résidentiel, que j’ai trouvé un peu excentré (bien que la ville ne soit pas très étendue et reste très facile à parcourir à pied).

Tout est fait pour le sport dans ce coin puisqu’on y retrouve un grand complexe (Sparta Hallen) et le parc le plus vaste de Copenhague (Faelledparken).
J’avoue avoir été très nettement moins emballée par cet endroit que par le village de course et le départ vraiment dépaysant et à la saveur particulière entre les quais et l’imposant hôtel de ville d’Oslo l’an dernier.
Là, j’ai presque eu l’impression de me retrouver à Grenoble, entre le palais des sports et le parc Paul Mistral pour le départ du Grenoble-Vizille

Le retrait des dossards était cependant plutôt bien organisé, sans longues files d’attente, avec malgré tout, l’impossibilité d’obtenir un t-shirt femme en taille S. J’y suis pourtant allée 2 jours de suite, et à chaque fois, le même discours : on en aura d’ici une heure ou deux… soit. Le XS fera bien l’affaire finalement !

Le dimanche, jour de la course, Lire la suite

Le Lolë white tour 2017 à Grenoble.

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Avant de vous embarquer pour la seconde partie du voyage en Islande, je souhaitais vous parler rapidement de mon expérience du Lolë white tour à Grenoble la semaine dernière.

Le Lolë white tour est une série d’évènements organisés par la marque canadienne un peu partout dans le monde autour du yoga.
L’idée est de se rassembler pour pratiquer ensemble et partager un moment dans un lieu un peu atypique, souvent en extérieur. Les séances sont guidées par des professeurs de yoga et chacun.e est invité.e à venir vêtu.e de blanc

Si j’avais déjà eu l’occasion de participer à un meet-up Lolë à Lyon il y a trois ans, je n’avais encore jamais pu prendre part au White Tour. J’aurais pourtant adoré me joindre à la séance sous la verrière du Grand Palais à Paris il y a quelques années de cela si je ne m’y étais pas prise trop tard !

Depuis que la marque a ouvert un atelier à Grenoble, de nombreux événements sont organisés régulièrement. Cela m’a permis de découvrir d’autres types de pratiques et j’apprécie toujours de me rendre dans la boutique où je me sens à chaque fois très bien accueillie.
J’étais donc ravie de pouvoir m’inscrire, moyennant 10 euros, au White Tour cette année, et je n’avais aucun doute là-dessus : j’allais obligatoirement passer un bon moment !

Force est de constater que ça n’a pas été exactement le cas…

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Rendez-vous étais pris le 14 juin en fin d’après-midi au Jardin des Plantes de Grenoble. Pour les gens qui ne sont pas d’ici, c’est en fait le jardin du muséum d’histoire naturelle de la ville, et c’est un endroit vraiment très agréable, avec des serres, une petite roseraie, de beaux arbres et de grandes pelouses.

Malheureusement, Lire la suite

Mon premier Grenoble-Vizille.

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Dimanche dernier, j’ai participé pour la première fois à la course Grenoble-Vizille, un semi-marathon un peu plus gourmand, puisqu’il fait en réalité 22 km.
Comme je souhaitais cette année me frotter à un semi avec un peu de dénivelé, ce parcours, avec ses 280 mètres de dénivelé positif était l’occasion idéale pour un premier test, pas loin de la maison !

C’est sous la pluie que je suis allée récupérer mon dossard, samedi après-midi, à la Halle Clémenceau de Grenoble (notre ancienne patinoire). J’avoue que si je ne me suis pas trop attardée sur les stands, pourtant à l’abri, j’ai bien apprécié de retrouver l’ambiance d’avant-course qui me plait toujours autant !
L’évènement était bien plus modeste que ceux auxquels j’ai déjà pu participer dans ma toute petite carrière de runneuse (mis à par le LUT by Night peut-être), mais tout aussi appréciable !
Une fois le dossard et le t-shirt de la course en poche, je suis directement rentrée me mettre au chaud afin d’être en forme pour le lendemain.

Comme mon entrainement a été plus qu’aléatoire depuis ma reprise début février (2 séances par semaine, très peu de sorties longues et une seule séance de fractionné), je ne m’étais fixé aucun objectif, si ce n’est de terminer la course ! J’ai également un souci au pied gauche depuis plusieurs semaines, avec un orteil qui gonfle beaucoup dès que je cours et me fait plus ou moins mal le lendemain de chaque sortie ; du coup, je ne préférais pas tenter le diable.

Et puis je dois bien reconnaitre qu’en plus de tout ça, je n’étais pas vraiment motivée par la perspective de ce Grenoble-Vizille, très loin de me faire rêver comme le semi-marathon d’Oslo avait pu le faire ! C’est donc un peu à reculons que j’abordais cette nouvelle course. Heureusement, le fait  de récupérer le dossard m’a immédiatement remise en selle. Et dimanche matin, en arrivant aux abords de la ligne de départ, j’étais à nouveau impatiente de m’élancer  ! Lire la suite

J’ai testé : Totum sport.

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Il y a un petit moment maintenant, on m’a proposé de tester Totum Sport, une solution hypertonique d’eau de mer censée aider les sportifs à améliorer leurs performances, éviter les crampes et les blessures, et récupérer plus facilement après l’effort.

Lorsqu’on dit d’une boisson qu’elle est hypertonique, cela signifie tout simplement qu’elle est plus concentrée en minéraux que notre organisme, le but étant de compenser la perte des minéraux (due en grande partie à la transpiration pendant l’effort), ainsi que de favoriser l’hydratation.

Totum sport se présente sous la forme de sachets souples individuels. Il est préconisé d’en boire un avant l’effort, un au bout d’une heure, et enfin un dernier après l’effort.
Comme il s’agit d’eau de mer, le goût est bien salé mais pas forcément désagréable. Bien que le produit soit donc totalement naturel, son conditionnement en sachets n’est pas écologique du tout. Mais il faut pourtant reconnaitre qu’il est très pratique pour emporter la solution avec soi lors d’un sortie longue de running par exemple.

Composition pour 60 ml (3 sachets)
Eau de mer microfiltrée à froid : Chlorure 1190mg (150% valeur nutritionnelle de référence) ; Magnésium 70 mg (18% VNR).

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De mon côté, j’avoue que je n’ai pas vraiment suivi les instructions d’utilisation ! A l’exception de mon semi-marathon norvégien où j’avais bu un sachet avant Lire la suite

J’ai participé au Lyon Urban Trail by night.

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Je ne sais pas ce que vous avez fait samedi soir mais à priori, avec le petit déluge qui s’est abattu, les options plaid/tisane ou pub/Guinness semblaient plutôt bien adaptées pour passer une bonne soirée.

Sinon, il y avait aussi l’alternative Lyon Urban Trail by night ! Un trail urbain, avec deux parcours de 12 ou 26 km, et un joli dénivelé. De nuit. Sous la pluie.

Vous me voyez venir, j’ai bien-entendu et en toute logique (!) choisi d’aller patauger dans la boue et prendre l’eau dans la capitale des gaules !
Il faut dire que cela faisait partie de mes objectifs sportifs pour 2016 depuis un bon moment. J’étais donc ravie de pouvoir concrétiser tout ça, et ce ne sont pas quelques gouttes de pluie qui allaient m’arrêter !

Pour mon premier trail, j’avais choisi l’option 12km (un peu fofolle, mais pas totalement cinglée non plus) et j’étais cette fois accompagnée de Monsieur Bio qui, d’habitude, n’est pas très intéressé par les courses officielles.

Nous avons pris la route en direction de Lyon en milieu d’après-midi et sommes arrivés relativement tôt pour récupérer les dossards sous la basilique de Fourvière, ce qui nous a permis de ne pas faire la queue du tout.
Bon, après il a quand même bien fallu attendre le départ ! Nous nous sommes donc réfugiés sous l’une des tentes du petit village de course pour rester un peu au sec (mais pas au chaud !) avant de nous diriger vers le sas de départ, vers 19h environ.

Très bonne ambiance dans la rue de l’Antiquaille au moment d’enfin s’élancer. Le ballet des frontales commence et c’est très chouette ! La pluie qui était quant à elle censée se calmer un peu, repart de plus belle au moment où nous démarrons mais Lire la suite

J’ai couru mon 1er semi-marathon à Oslo.

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Cela faisait partie de mes objectifs pour cette année 2016, et je l’avais régulièrement évoqué ici mais cette fois, ça y est, j’ai couru mon premier semi-marathon !

C’était il y a tout pile une semaine, sous un grand soleil norvégien, au cœur d’Oslo, une ville que j’adore et où je me verrais même bien vivre un jour !

J’attache beaucoup d’importance aux lieux que je visite et aux circonstances dans lesquelles je choisis de tenter de nouvelles expériences, et, tout comme pour Lyon lors de ma première course officielle l’an dernier, mon choix ne s’était pas porté sur Oslo par hasard pour ce premier semi-marathon.
Je suis heureuse de savoir que je pourrai toute ma vie dire que j’ai couru ma première distance sérieuse dans cette ville, tout comme j’ai le sourire quand je pense que mon premier job restera à jamais celui de disquaire ! Rassurez-moi, je ne suis pas la seule zinzin à fonctionner comme ça ?! 😀

Bref, mon inscription était validée depuis le mois de janvier, et les billets d’avion bookés depuis presque aussi longtemps ! Autant dire que j’ai eu le temps de le voir venir ce semi !

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J’ai calqué ma préparation sur celle Lire la suite

Préparer un semi-marathon avec des produits naturels.

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Comme vous le savez probablement déjà ( surtout si vous me suivez sur Instagram où je poste régulièrement une partie de mes entrainements), je prépare actuellement mon premier semi-marathon.
Ce qui faisait partie de mes objectifs 2016, se profile maintenant sérieusement à l’horizon ! Dire que l’an dernier à la même période je préparais tout juste ma première course officielle de 10km !

Pour cette nouvelle préparation, j’ai recours à quelques petites astuces afin que tout se déroule au mieux. Rien de très original, de trop élaboré, ou de compliqué ! Si vous êtes un(e) coureur(se) chevronné(e), vous n’aurez très probablement pas besoin de tout ça, mais pour les runners moins avancés, comme je le suis encore, peut-être que cela pourra vous être utiles !

Si vous êtes comme moi, plutôt impatient(e) et que vous avez du mal à prendre du temps pour vous occuper de vous, une telle préparation peut être l’occasion d’inverser la tendance !

J’ai par exemple toutes les peines du monde à prendre 2 minutes après la douche pour hydrater un peu mes jambes qui ont tendance à être sèches et je ne parle même pas de mes pieds…
Mais là, ces petits pieds, ce sont eux qui m’ont permis de courir plus de 140 km au mois d’août et qui vont me porter pendant ces 21 km à Oslo. Du coup, J’essaie d’y faire un peu plus attention. Je m’applique donc à Lire la suite