Comment j’ai modifié ma routine cosmétique bio pour faire des économies.

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En ce début d’automne, l’envie de reprendre le chemin du blog est enfin revenue ! Cet espace a maintenant 12 ans, et je dois avouer que j’ai fait pas mal de chemin depuis son lancement en septembre 2011. Si le fond de mes idées reste le même, beaucoup de choses ont évolué et je pense évoquer tout cela prochainement ici.
Mais pour le moment, restons sur un article plutôt pratique et d’actualité pour beaucoup de monde me semble-t-il.

Je suis normalement très attachée aux produits que j’utilise, et je n’ai généralement pas envie d’en changer quand ils me conviennent. Je dois bien avouer cependant que ces derniers mois, ma routine globale a un peu évolué. J’ai en effet remplacé un certain nombre de produits cosmétiques et d’hygiène que j’utilisais au quotidien pour une raison extrêmement simple : ceux que j’utilisais jusqu’à présent étaient tout simplement devenus trop chers pour mon budget.

Je vous propose aujourd’hui d’évoquer trois produits que j’utilise tous les jours : le savon, la crème hydratante et le démaquillant. C’est parti !

Comme vous le savez, cela fait des années que j’ai délaissé l’utilisation de gels douche et autres savons liquides au profit de savons solides saponifiés à froid. Pas de changement de ce côté là chez moi. S’il y a bien un domaine où je reste convaincue à 100% par le solide, c’est celui-ci ! Meilleur pour la peau, aussi pratique d’utilisation (voire plus), moins polluant pour l’environnement, moins générateur de déchets, pour moi le savon solide saponifié à froid a toujours tout bon.
Depuis des années, j’étais fidèle à la savonnerie grenobloise Les Affranchis, qui a malheureusement disparu. Mais aussi à la marque drômoise Gaiia et en particulier à son Colosse si parfait pour moi, avec son odeur à la fois boisée et chaude. Très honnêtement, je suis toujours aussi emballée par ce savon, et par la marque en général. Mais avec la consommation que nous en faisons, j’ai dû faire le choix de me tourner vers des alternatives moins onéreuses, même si je continue à acheter le Colosse de temps à autre tellement je l’aime !

Ma première solution toute simple a été de me remettre à faire mes propres savons, ce que j’avais un peu délaissé. Je ne pensais pas forcément que ce soit le cas, mais cela reste financièrement intéressant si on utilise des huiles bio grand public.
En ce qui concerne les savons que l’on peut trouver dans le commerce, mon choix s’est porté en premier lieu sur la marque Clémence & Vivien, et plus particulièrment son Saint Bernard parfumé au petit grain bigarade et à l’orange, et parfois son Chérubin non parfumé (qui convient par conséquent aux personnes ne souhaitant/pouvant pas utiliser d’huiles essentielles).
J’ai ensuite découvert la savonnerie artisanale alsacienne Argasol et je me suis mise à utilise son savon à la mandarine rouge pour la douche, et celui au lavandin pour me servir d’anti-mites pour mes lainages.
Enfin, j’ai également recours à un savon non saponifié à froid, le savon d’Alep pur olive de la marque Nagel, que nous utilisons actuellement pour le lavage des mains dans la cuisine et qui fond moins vite que les autres.

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Le point sur les savons évoqués ici :

  • Gaiia : fabriqué à Montelier dans la Drôme / certifié bio et Slow Cosmétique / sans huile de palme / vegan.
    6,50€ pour 100g.
  • Clémence & Vivien : fabriqué à Vibraye près du Mans / certifié bio et Slow Cosmétique / sans huile de palme / vegan.
    4,50€ pour 100g.
  • Aragasol : fabriqué à Sainte Marie aux Mines (dans une ancienne église !!) en Alsace / certifié bio / sans huile de palme / vegan.
    4,20€ pour 140g.
  • Nagel : fabriqué à Civrieux dans le bassin lyonnais / sans huile de palme / vegan.
    5,04€ pour 200g.

Les prix indiqués sont ceux des sites internet respectifs des marques, il peut y avoir de très légères variations selon les distributeurs mais l’ordre d’idée est le bon.
Pour les grenoblois·es, à l’exception des savons Gaiia, tous les autres sont trouvables en magasin en ville.

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En complément des savons, j’ai également changé ma crème hydratante.
Depuis que j’avais testé la crème Glow Up d’Oolution pour la première fois, je n’en avais plus jamais changé. J’aime toujours autant son odeur, discrète et très agréable, et je pense toujours que c’est une excellente crème, produite par une marque engagée. Mais très honnêtement, son prix de 34,50€ pour 50 ml (hors frais de port car je ne la trouve pas à Grenoble) est devenu un frein non négligeable pour moi. C’est probablement le prix de l’intransigeance sur la qualité et la composition, mais il reste très élevé.
J’ai par conséquent opté, pour le moment au moins, pour un compromis que je n’aurais jamais fait il y a quelques années : Lire la suite

J’ai testé : Ma French Box.

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Hello ! Je vous retrouve en ce début d’automne pour vous parler d’une box que j’ai eu l’occasion de tester ce mois-ci et que je suis sincèrement contente de pouvoir vous présenter ici tant Sindy, sa créatrice, prend soin de son projet et y met clairement tout son cœur.

Ma French Box c’est une box un peu hybride, avec à la fois des produits cosmétiques, de la déco, des gourmandises, des bijoux… Ce qui lie tout cela est le fait que tout soit fabriqué en France, bio et/ou naturel, non testé sur les animaux, en grande majorité issu de l’artisanat, et qu’il n’y ait pas d’échantillons mais uniquement des produits « full-size ».

Une attention toute particulière est apporté à l’emballage de la box et des produits qui la composent. Sindy a bien compris que le meilleur déchet est celui que l’on ne produit pas et cherche à tendre le plus possible vers le zéro déchet pour sa box. Elle demande par exemple à ses partenaires de ne pas emballer leurs produits car ils le seront dans la boite ; boite très sobre, elle-même confectionnée en carton recyclé et biodégradable.
Pour présenter les produits à l’intérieur, Sindy a recours a de jolis pochons réutilisables en tissu, cousus par la chouette marque lyonnaise Kufu. Le tout est calé avec les chutes de papier kraft utilisé pour emballer les box au moment de l’expédition (je dois néanmoins préciser que ce mois-ci, il y avait un peu de plastique bullé pour sécuriser les produits en verre et que je ne sais pas si c’est habituel).

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Les divers papiers que l’on retrouve souvent dans ce type de box, avec des explications sur les produits, sont également minimisés. Le petit récapitulatif des produits du mois est imprimé sur du papier ensemencé avec des encres à base d’eau. Et si besoin, il suffit de se rendre sur le site pour retrouver toutes les informations sur les articles reçus.
Je trouve personnellement que c’est quelque chose de très appréciable car on a souvent tendance à se laisser envahir par la publicité et les papiers divers non sollicités, même en faisant très attention ; là au moins, le problème est presque totalement éliminé à sa source (deux articles avaient néanmoins une petite présentation papier ce mois-ci).

Maintenant que vous savez tout ça, je suis sûre que vous avez envie de découvrir le contenu de la box de septembre !
Je dois dire que pour moi, la découverte a été presque totale puisque sur les 5 produits proposés ce mois-ci, je connaissais uniquement la marque Note Suave et ses bougies végétales parfumées.

Dès l’ouverture de la boite, Lire la suite

Mes dernières découvertes capillaires.

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Bonjour, bonjour ! Me voici de retour par ici pour vous parler à nouveau cheveux. Il faut croire que le sujet me passionne particulièrement ces derniers temps !

Dans mon précédent article, je vous détaillais où j’en étais après toutes ces années au naturel, et j’évoquais également au détour d’une ligne les produits qui me faisaient de l’œil et que j’avais bien envie de tester. Depuis, j’ai tout coupé pour passer à un carré plongeant (relativement long tout de même), et grâce à de belles promos, j’ai pu m’offrir une bonne partie des soins que je voulais essayer ! Et ce sont eux que je vais vous présenter aujourd’hui.

J’ai tout d’abord mis la main (grâce à une réduction conséquente !) sur les petits formats de deux produits Denovo dont j’entendais beaucoup de bien depuis plusieurs années : la Crème Lactée et l’Oléo Silk.
Je suis conquise depuis longtemps par l’efficacité sur moi du sérum Illumine de la même marque, j’espérais donc qu’il en serait de même pour ces produits capillaires !

La Crème Lactée est présentée comme l’équivalent pour les cheveux secs et indisciplinés d’une crème de jour. Elle permet d’hydrater la fibre capillaire et s’utilise sur cheveux humides, simplement essorés, mais aussi sur cheveux secs. C’est comme cela que je m’en sers pour le moment, et je devrais peut-être changer de technique car je ne vois pas de résultat extraordinaire à vrai dire ! J’espérais un domptage en règle des frisottis mais, rien de spectaculaire (cela dit, j’ai nettement moins de frisottis justement depuis ma coupe).
Le bon point, c’est que mes cheveux fins ne sont pas alourdis par ce produit. Par contre, je trouve personnellement l’odeur assez entêtante, pas désagréable mais trop sucrée et trop présente à mon goût. Mais de cet fait, je pense qu’elle conviendra parfaitement aux personnes habituées à la cosmétique conventionnelle et appréciant les odeurs « régressives » de bonbons.
Vous l’aurez compris, pour ma part ça n’est à priori pas une crème que je rachèterai une fois mes 50ml terminés. Et ça évitera comme ça un flacon en plastique dans ma salle de bain 😉

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Qu’en est-il maintenant de l’Oléo Silk ? Lire la suite

J’ai testé : les oléo-sérums Epicosm.

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Hello ! On se retrouve aujourd’hui pour un petit test cosmétique mené tambour battant pendant deux mois par Monsieur Bio et moi-même, oui oui !

Mais d’abord, une petite parenthèse… Si j’ai toujours été exigeante dans le choix des produits que je vous présente sur le blog, il est vrai qu’avec les box par exemple (dont on ne connait pas le contenu à l’avance), j’ai quand même parfois pu me retrouver avec des cosmétiques que je n’aurais pas décidé d’acheter par moi-même car ils ne remplissent pas tous mes critères, bien que leur composition reste tout à fait satisfaisante.

Vous savez parfaitement que j’ai l’habitude de poster des revues objectives et que je n’hésite pas à souligner les point qui me chagrinent ainsi qu’à signaler clairement lorsqu’un produit ne me convient pas après test. Mais j’ai néanmoins décidé d’essayer de faire encore plus attention et de mettre l’accent sur des marques et/ou producteurs plus confidentiels aussi souvent que possible.
Un bon contact avec mes interlocuteurs reste crucial pour moi car je ne suis pas là pour faire de la pub gratuite, mais bien pour présenter des initiatives et des produits qui me plaisent. Et j’ai pu constater que je n’ai JAMAIS eu aucun souci pour obtenir des compléments d’informations, ni pour discuter de certains choix d’ingrédients avec des marques à taille humaine ; alors que je ne peux pas en dire autant de certaines plus établies que j’appréciais pourtant déjà beaucoup à titre personnel avant que l’on me propose d’en parler sur le blog (ce que je n’ai, du coup, pas fait).

Fin de la parenthèse, passons maintenant à ce qui nous intéresse aujourd’hui : la découverte d’Epicosm et de ses chouettes oléo-sérums !

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Ça n’est pas un secret, je suis une grande adepte des huiles, en particulier pour le démaquillage et en tant que sérum. Par contre, je n’arrive pas à utiliser d’huile végétale pure en tant qu’hydratant à la place de ma crème de jour.

Quand Estelle, la créatrice d’Epicosm m’a contactée, j’ai d’abord été emballée par son parcours et le fait qu’elle ait décidé de fonder sa propre ligne de cosmétiques en revenant d’une expatriation en Australie ; l’ailleurs comme moteur de création, moi, ça me parle !
De l’Australie, elle a eu envie d’intégrer à tous ses produits une matière première typique : l’huile de macadamia, une huile sèche particulièrement agréable à utiliser sur la peau (un peu comme l’huile de jojoba je trouve).

En plus de l’huile de macadamia, les oléo-sérums Epicosm comportent tous plus de 96% d’ingrédients d’origine naturelle.
Je vous avoue avoir eu un petit doute sur certains composants en épluchant à la loupe la liste d’ingrédients présente sur l’emballage en pensant détecter de potentiels dérivés d’huile de palme. Mais je vous rassure tout de suite : il n’y en a pas, tout simplement ! Estelle m’a tout bien détaillé, nous avons passé en revue tous les ingrédients pour lesquels je me posais la question, et ils sont issus de l’huile de coco. Même si la problématique de l’huile de palme n’est pas aussi simple qu’il n’y parait, Estelle partage mes interrogations à son sujet et a décidé de ne pas y avoir recours ce qui pour moi est un bon point.

Autre point positif, tout est très clair sur le fait que la marque est cruelty-free (pas de test sur les animaux) et vegan (aucun ingrédient d’origine animale). Elle est de plus installée dans ma région (en Savoie, à La Ravoire pour être précis), tous les produits sont fabriqués en France et les emballages sont recyclables, en verre et en carton.
Il est également intéressant de signaler qu’on ne trouve pas d’huiles essentielles dans les compositions, ce qui rend ces sérums utilisables par le plus grand nombre.

J’ai reçu deux produits pour ce test : le sérum Éclat & Fermeté pour moi, et le sérum Homme pour Monsieur Bio.

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Comme vous pouvez le voir, Lire la suite

Mon avis sur le déodorant mandarine « En Douce Heure ».

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Bonjour, bonjour ! Ça y est je suis de retour après un joli périple islandais dont je vous parlerai certainement sur le blog dans quelque temps. En attendant, je vous propose de vous donner mon avis sur un déodorant que j’ai découvert juste avant mon départ.

Trouver le bon déo a souvent été un casse-tête pour moi, même avant mon passage au naturel, et c’est un sujet que j’ai déjà évoqué régulièrement par ici.
J’ai pendant longtemps fabriqué mon propre produit, que je trouvais efficace mais dont je me suis lassée. Puis je suis passée à l’huile essentielle de palmarosa, dont j’apprécie particulièrement la simplicité, et que je continue d’utiliser de temps à autre, mais dont j’avoue être moyennement fan de l’odeur (même si j’ai fini par bien m’y habituer).
J’ai ensuite basculé vers les déodorants solides en pot de chez Schmidt’s et j’en suis aujourd’hui une adepte totale ! Cependant, les pots de la maison arrivant à leur terme, j’ai décidé d’en profiter pour tester autre chose avant de probablement y revenir.

Et j’ai donc jeté mon dévolu sur le déodorant à la mandarine de la marque française, artisanale, et certifiée Nature et Progrès, En Douce Heure.

Exit le pot et l’application au doigt, place au stick ! Même si, personnellement, le fait de mettre mon déo avec les doigts ne me gêne absolument pas, j’ai bien conscience que ça n’est pas le cas de tout le monde ! Le stick reste donc à mon avis le format correspondant le mieux à la majorité d’entre-nous, et il est sans aucun doute le plus pratique.

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Ce stick En Douce Heure s’applique facilement avec sa texture un peu crémeuse, ni trop sèche, ni trop grasse, et ne laisse pas de film ou de sensation désagréable sur la peau.
On peut s’habiller sans aucun problème juste après l’application.
De plus, pas la peine de tartiner trois tonnes de produit, un aller-retour sous chaque aisselle faisant, je trouve, bien l’affaire.
Il ne laisse par ailleurs aucune trace sur les vêtements noirs.

Au niveau de sa composition, il est difficile de faire mieux et plus doux ! Il est 100% naturel, et tous les ingrédients sont issus de l’agriculture biologique. Voyez plutôt : Lire la suite

J’ai testé : la gamme Océopin.

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Il y a quelques semaines, j’ai eu la chance de recevoir quelques petits produits Océopin dans un joli pochon en coton bio afin de découvrir ces soins à base d’huile de graines de pin maritime.
Je connaissais la marque de nom depuis un bon moment et son éthique semblait correspondre à ma façon de voir les choses, c’est donc avec plaisir que je vous en parle aujourd’hui après avoir testés trois produits : l’huile de graines de pin maritime, le soin du corps, et la poudre exfoliante.

Pour planter rapidement le décors : Océopin est une marque française originaire du Cap Ferret et de ses pinèdes au bord de l’océan Atlantique. Elle a vu le jour en 2012, fabrique en France, et ses produits sont biologiques et certifiés par Ecocert.
Les pommes de pin sont récoltées manuellement, tout est traçable, l’huile est extraite sans aucun ajout de solvant par première pression à froid.

Sur les trois produits reçus, deux ont une composition ultra-simple et on ne peut plus irréprochable. Jugez plutôt par vous même  : l’huile de graines de pin restructurante et anti-âge, destinée au soin du visage, est en effet composée à 100% d’huile de pin maritime pure ;  et la poudre exfoliante pour le corps contient quant à elle 100% de poudre de graines de pin maritime français.

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Le troisième produit, le soin corps a lui une composition un peu plus longue (à voir par ici) et je trouve dommage que tous ses ingrédients, pourtant tous d’origine naturelle, ne soit pas tous biologiques (notamment l’huile de tournesol et l’huile de noisette). Les deux autres produits ayant placé la barre très haut, j’avais peut-être trop d’exigences pour celui-ci ! 😉

A l’usage, j’ai réellement apprécié d’utiliser ces produits.
L’huile de graines de pin maritime, de part sa teneur élevée en acides gras, vitamine E et anti-oxydants est particulièrement adaptée en soin anti-âge… mais pas uniquement ! Elle convient en effet également bien aux peaux un peu sèches ou déshydratées en leur redonnant de la souplesse (et peut aussi servir de en soin apaisant après soleil après une bonne journée de ski).
De mon côté, Lire la suite

Bleuforêt : mes chaussettes made in France !

Comme vous le savez, j’ai l’habitude de consommer le plus local et/ou français possible pour ma nourriture depuis un bon moment maintenant.
J’essaie également de fonctionner de cette manière du côté de l’habillement. Si je ne suis pas une grande consommatrice de vêtements, je fais en revanche attention à leur côté éthique et à leur mode de fabrication. Je recherche en général des vêtements qui vont pouvoir durer le plus longtemps possible, et que je continuerai à porter avec plaisir au fil des années.
J’avoue que je n’ai pas vraiment le reflex « seconde main », en grande partie parce que je trouve très rarement mon bonheur en friperie malheureusement. Par contre, je ne mets plus du tout les pieds dans les grandes enseignes d’habillement depuis plusieurs années maintenant, je privilégie systématiquement les marques éthiques et transparentes, et j’essaie de trouver des vêtements fabriqués en France dès que je le peux (je n’hésite pas non plus à me faire plaisir avec du vrai Made in England, Scotland ou Norway quand je me rends dans ces pays que j’affectionne tout particulièrement 😉 ).

Si je n’ai toujours pas résolu le problème de la lingerie, j’ai par contre trouvé chaussette à mon pied depuis bien longtemps ! De ce côté-là en effet je suis 100% made in France (pour mes chaussettes de ville) grâce à deux marques : la stéphanoise Archiduchesse (déjà évoquée ici), et la vosgienne BleuForêt. C’est de cette dernière dont je vais vous parler un peu aujourd’hui. Lire la suite

Haute comme 3 Pommes : interview et concours !

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Comme je vous l’avais annoncé vendredi, on se retrouve aujourd’hui pour en apprendre un peu plus sur Anne, la créatrice de Haute Comme 3 Pommes.
D’où lui est venu l’idée de créer sa propre boutique en ligne, comment choisit-elle ses matières premières, comment imagine-t-elle l’avenir ? Vous saurez tout avec cette interview !

Et comme promis, on se retrouve ensuite avec un super concours. Car en plus d’être sympa, Anne est aussi généreuse et va permettre à l’un ou l’une d’entre-vous de gagner un joli lot de 10 cotons à démaquiller lavables ! Rendez-vous en fin d’article pour participer 😉

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– Quand et comment vous est venu l’idée de créer « Haute comme 3 Pommes »  ?
Fin 2012 je cousais déjà depuis quelques années quand j’ai eu la chance de Lire la suite

J’ai testé : les lingettes démaquillantes lavables Haute comme 3 Pommes.

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Il y a quelques temps, au détour d’internet, j’ai fait la connaissance d’une sympathique créatrice grenobloise, Anne de Haute Comme 3 Pommes.
Dans sa jolie petite boutique, elle propose à la fois de chouettes créations pour les enfants et pour les adultes. En effet, aux côtés de ses délicats mobiles et guirlandes en papier, parfaits pour égayer une chambre enfantine, on peut également retrouver des masques de nuit rigolos en forme de moustache, ou encore des cotons à démaquiller écolos.

Partageant les mêmes valeurs et étant aussi très curieuse de découvrir ces disques fabriqués juste à côté de chez moi, c’est avec plaisir que j’ai accepté de les tester lorsqu’Anne me l’a proposé !

Comme je vous l’ai déjà dit, je suis une inconditionnelle du démaquillage à l’huile ; c’est en effet la seule technique que j’utilise ! J’alterne les jours où je me démaquille simplement avec les doigts, et ceux où je me sers de disques lavables.
J’ai été franchement séduite par ceux que propose Anne pour plusieurs raisons, et je trouve qu’ils diffèrent pas mal de ceux que j’utilisais depuis près de quatre ans maintenant. Voici les points qui m’ont particulièrement plu !

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Les disques sont bi-faces, comme ceux que je possédais avant, mais là, Lire la suite

Les salons Artisa et Naturissima 2015 (part 1).

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Tous les ans à Grenoble se tiennent conjointement deux salons : Artisa et Naturissima ; le premier étant dédié aux métiers d’art, le second à l’environnement et à un mode de vie sain et éthique.
J’y avais déjà fait un tour l’an dernier et j’avoue que j’étais restée sur une impression très mitigée (vous pouvez lire mon compte-rendu ici).

Cette année, ayant reçu une invitation de la part du très chouette site grenoblois C’est fait ici (qui promeut l’artisanat local), je n’avais aucune excuse pour ne pas y retourner afin de voir si je restais sur cette impression !

J’ai décidé cette année de scinder mon compte-rendu en deux afin de le rendre un peu moins indigeste 😉
Je vous propose donc de commencer aujourd’hui par un petit tour d’horizon du salon Artisa, au sein duquel j’ai repéré quelques créateurs sympathiques !

Le salon cette année était placé sous le signe du street art et la galerie grenobloise Lire la suite