J’ai testé : la Biotyfull Box de septembre.

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Alors que l’on peut déjà lire des avis sur les produits à peine testés de la Biotyfull box du mois d’octobre, je vous propose de mon côté de vous faire part aujourd’hui de mon expérience avec ceux de la box de septembre ! 😀

A nouveau expédiée via le transporteur GLS, la box a cette fois encore connue quelques difficultés pour me parvenir ! Ce mois-ci néanmoins, le livreur, s’il n’a comme à son habitude pas daigné faire le déplacement jusqu’à chez moi, s’est au moins donné la peine de déposer la box dans un point relais à moins de 20 minutes en voiture…
Je ne sais pas si vous avez également des soucis avec ce transporteur, mais de mon côté, c’est le mal absolu ! Si je commande en général très largement moins par internet qu’il y a quelques années, j’ai aussi carrément cessé de valider mes paniers lorsque je vois que le seul transporteur proposé est GLS tant j’ai eu de problèmes avec eux. Du coup je ne suis pas vraiment ravie de voir que Biotyfull Box a choisi cette option !

Maintenant que ce petit point est souligné, entrons dans le vif du sujet : la composition de la box ! Que cachait dont la petite boite au design plus épurée le mois dernier (ce qui n’est d’ailleurs pas pour me déplaire, même si je l’ai trouvée un peu trop girly à mon goût) ?

En septembre, pas de goodie superflu et cinq produits, full-size comme toujours. La box est bien remplie, et la première impression est bonne.
Les produits changent un peu de d’habitude et, à première vue, correspondent (pour certains) mieux à ce que j’aurais pu acheter par moi-même.

Je suis par exemple contente de trouver enfin Lire la suite

J’ai testé : le complexe « Brillance cheveux bio » de Fitoform.

Bien que je ne sois pas partie en vacances à la mer ou au soleil cet été, mes cheveux longs ne se portaient pas franchement très bien à la fin du mois d’août. Enfin, pour être tout à fait honnête, ils n’étaient pas en super forme depuis bien plus longtemps que ça, et je ne m’en étais pas tellement occupée depuis une éternité.
Les soins des cheveux ne sont pas exactement ma passion et je considère même toujours un peu ça comme une corvée !

Mais là, j’ai donc fini par décider de reprendre les choses en main avec une bonne coupe afin de me débarrasser des fourches et des pointes cassantes, accompagnée d’une petite cure avec un complément alimentaire de la marque française Fitoform, intitulé Brillance cheveux Bio. Fin août, la machine était lancée !

Je suis d’abord passée par la case coiffeur chez Esthéticoiff à Grenoble pour une bonne coupe d’environ 25 cm et une coloration végétale cuivrée Marcapar. Tout s’est très bien déroulé, mes cheveux ont retrouvé de la masse et un peu de douceur.
Immédiatement après cette coupe, j’ai entamé ma cure d’une mois avec les petites capsules Fitoform.

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Si vous souhaitez voir un « avant / après » la coupe, rendez-vous tout en bas de l’article avec 2 photos très moches mais qui permettent de se rendre compte de l’ampleur de la chose !

Composées d’huiles d’onagre, de carthame et de bourrache (et de vitamine E), elles sont censées aider à retrouver de la brillance et de la vitalité.
Ce complément est certifié bio (Ecocert / AB) et toutes les huiles qu’il contient sont obtenues par pression à froid afin d’en conserver les propriétés bénéfiques.

Fitoform propose un autre complexe destiné à la beauté des cheveux, appelé Fortification, qui me semblait très intéressant (peut-être plus encore ?) mais que j’avais néanmoins écarté car il n’est pas bio.

J’ai malheureusement eu la mauvaise surprise, à la réception de mon produit, de découvrir que les capsules Lire la suite

Copenhague 2017 : le semi-marathon de l’apocalypse !

Bonjour, bonjour ! Me voilà de retour après un petit séjour dans la capitale danoise où j’ai passé quelques jours à l’occasion du semi-marathon.
Je souhaite aujourd’hui revenir sur cette course bien particulière qui ne risque pas de s’effacer de ma mémoire de sitôt !

L’an dernier à la même époque, je courais mon tout premier semi-marathon à Oslo, très probablement l’une de mes villes favorites au monde (oui, carrément, pourquoi s’embêter avec de la demi-mesure, hein ?!).

Cette première expérience sur 21km m’avait tellement enchantée, qu’à peine la course terminée je pensais déjà à la suivante que j’envisageais de courir en Ecosse, pays dans lequel j’aimerais beaucoup m’expatrier.
Après une petite réflexion, j’ai finalement décidé de garder l’Ecosse sous le coude pour mon premier marathon et j’ai alors choisi de mettre le cap sur Copenhague. Je connaissais vaguement la ville, mon premier passage par ses rues m’avait beaucoup plu, et j’avais en plus lu pas mal d’avis positifs sur son semi-marathon.
Je me suis donc inscrite dès le mois de mars avec l’objectif de m’entraîner correctement pour passer sous la barre symbolique des 2h.

Bien entendu, rien ne s’est passé comme prévu ! Comme vous le savez déjà, j’ai malheureusement été touchée par une vilaine mononucléose qui m’a littéralement mise à plat pendant de très longues semaines.

Début août, je ne pensais même pas pouvoir prendre le départ car je n’avais pas pu pratiquer la moindre activité physique depuis plusieurs mois. Et puis, miracle, j’ai commencé à me sentir un peu mieux et j’ai pu rechausser les baskets le 11 août. Rien de transcendant mais quand même. Si mon objectif d’1h59 n’était plus du tout d’actualité, j’étais convaincue que j’allais tout de même pouvoir courir ce semi-marathon !
Etant encore en convalescence et n’ayant pu faire que 8 sorties, j’ai pris la précaution de changer de sas de départ ; un temps de 2h15 (soit plus que sur mon premier semi) me semblait bien plus raisonnable.

Je suis arrivée à Copenhague le 14 septembre et j’ai pu repérer le départ et récupérer mon dossard dès le lendemain.
Contrairement à Oslo, le village de course n’est pas situé du tout au cœur de la ville mais dans un quartier plutôt huppé et résidentiel, que j’ai trouvé un peu excentré (bien que la ville ne soit pas très étendue et reste très facile à parcourir à pied).

Tout est fait pour le sport dans ce coin puisqu’on y retrouve un grand complexe (Sparta Hallen) et le parc le plus vaste de Copenhague (Faelledparken).
J’avoue avoir été très nettement moins emballée par cet endroit que par le village de course et le départ vraiment dépaysant et à la saveur particulière entre les quais et l’imposant hôtel de ville d’Oslo l’an dernier.
Là, j’ai presque eu l’impression de me retrouver à Grenoble, entre le palais des sports et le parc Paul Mistral pour le départ du Grenoble-Vizille

Le retrait des dossards était cependant plutôt bien organisé, sans longues files d’attente, avec malgré tout, l’impossibilité d’obtenir un t-shirt femme en taille S. J’y suis pourtant allée 2 jours de suite, et à chaque fois, le même discours : on en aura d’ici une heure ou deux… soit. Le XS fera bien l’affaire finalement !

Le dimanche, jour de la course, Lire la suite

♥ Coup de coeur pour Savon Stories ♥

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Bonjour, bonjour ! Me voilà un peu de retour après une longue absence et un été bien plus chaotique que prévu, avec beaucoup de travail au moment où j’aurais dû me reposer à cause d’une vilaine mononucléose… cela fait partie des joies de l’indépendance ! Bref, si je n’ai toujours pas beaucoup de temps ni d’énergie à consacrer à autre chose que l’essentiel pour le moment, cela ne va néanmoins pas m’empêcher d’essayer de reprendre le fil par ici.

Et pour recommencer en douceur, je vous propose de vous parler un peu de l’un de mes récents coups de cœur ! Il s’agit de la marque anglaise Savon Stories, originaire de la région du Surrey, dans le sud-est du pays.

Inspirée par le mode de vie simple et minimaliste du grand-père de la créatrice de la marque, les produits Savon Stories se veulent le plus naturel possible. On retrouve ainsi des savons solides et liquides, tous saponifiés à froid (oui oui, même pour les liquides !), du rhassoul, des huiles végétales, des lotions hydratantes solides, et des baumes exfoliants, mais également une quinzaine d’huiles essentielles.

Les produits sont à la fois non testés sur les animaux et vegan, sans huile de palme, 100% bio (99% pour les savons liquides), et fabriqués en Angleterre.
Et en plus les visuels sont super cool, non ?!

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J’avoue que Lire la suite

Mon avis sur la Biotyfull Box de juillet.

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En ce mois de juillet, l’équipe de la Biotyfull Box a décidé de nous faire voyager avec son édition baptisée « La Paradisiaque » et ornée d’un lagon aux eaux turquoises !
A l’ouverture, ce sont quatre produits full-size que l’on découvre accompagnés d’un goodie.
Les quatre produits sont présentés comme étant des exclusivités mais je vous avoue ne pas être certaine de ce que cela signifie car on les retrouve en vente sur les sites respectifs des marques…

Le premier d’entre eux est une brume parfumée de la marque Acorelle dont j’apprécie le côté sans prétention et les prix abordables.
Il me semble également important de souligner que pour chaque eau d’été achetée, Acorelle reverse 1€ à la Surfrider foundation, une association qui œuvre pour la protection des océans.

Avec son design tropical, il n’y a aucun doute, il s’agit bien là d’une eau parfumée estivale ! Son odeur, très sucrée, est également parfaitement adaptée à la saison.
Je n’aime en général pas du tout ce type d’odeur mais là, sans que je sache vraiment dire pourquoi, je m’incline car je suis contente à chaque fois que je l’utilise ! Elle est toute fraîche sur la peau, et sent bon les vacances !

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Du côté de sa composition, on retrouve 100% d’ingrédients d’origine naturelle, dont 78% issus de l’agriculture biologique. Ce produit est certifié Ecocert et fabriqué en France, et il me semble qu’il est vegan.
A noter également qu’il Lire la suite

J’ai testé : le Baume des Titans rouge.

Bonjour, bonjour ! On se retrouve aujourd’hui pour un petit article sur un produit qui risque fort d’intéresser les sportives et sportifs parmi vous : le Baume des Titans rouge bio des Laboratoires Bimont.

Vous connaissez sans doute le fameux baume du Tigre chinois, existant en version rouge ou blanche, et au sujet duquel circulent depuis longtemps pas mal d’histoires plus ou moins fantaisistes ! Sachez cependant qu’il n’est pas dangereux pour la santé (sauf si bien-sûr vous décidiez de la manger au lieu de l’appliquer en externe, mais bon, là, je ne suis pas sûre que ce soit le remède dont vous ayez besoin…), et que sa vente n’est pas interdite en France.
Cependant, si j’ai encore en ma possession la formule blanche, rapportée directement de Shanghai par une amie qui vivait sur place, je sais en revanche qu’il n’est pas forcément évident de se procurer les produits originaux dans notre pays, et j’avoue également que je préfère à l’avenir m’abstenir d’utiliser ce type de baumes chinois alors qu’il en existe désormais des versions aussi convaincantes fabriquées en France, biologiques, et exemptes d’huile de paraffine (mais non vegan par contre).

Si je connaissais depuis un moment l’existence du Baume des Titans, je n’ai appris que récemment qu’une version bio était également disponible. Du coup, lorsqu’on m’a proposé de la tester, je n’ai pas hésité longtemps car c’est typiquement le genre de produit que j’utilise régulièrement, avant ou après mes entraînements sportifs (ou pour me dégager les bronches en hiver avec la formule blanche !).

Le baume mis au point par les Laboratoires Bimont possède une composition proche du baume chinois, à ceci près qu’elle est 100% naturelle et que 68% du total des ingrédients sont issus de l’agriculture biologique (le baume est certifié par Ecocert).
L’efficacité est due à Lire la suite

Road-trip en Islande (2/6) : cap sur la lagune glaciaire de Jökulsárlón.

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Lors de la précédente étape, nous nous étions quittés à Vík, deux jours seulement après le début du périple.
Au matin du 21 avril, après un dernier moment à observer le paysage depuis l’église de Vík, nous avons repris la route sous un soleil de plomb avec pour objectif la lagune glaciaire de Jökulsárlón, deuxième endroit clé que je ne voulais manquer sous aucun prétexte, et où je souhaitais pouvoir passer du temps.

200 km environ séparent ces deux endroits et la route peut se faire en 2h15 si l’on choisit de ne pas s’arrêter. On peut également opter au contraire pour l’option « longue » et décider d’étirer cette partie du voyage pour profiter pleinement de la région de Skaftafell, la partie sud du parc national du Vatnajökull (qui couvre près de 14% du territoire islandais !).
Nous aurions pu partir plus tôt de Vík pour faire une petite promenade de deux heures pour aller voir par exemple Svartifoss, la cascade noire et ses orgues basaltiques, mais pour ce premier séjour islandais, nous avions choisi de sauter l’étape Skaftafell (pourquoi ne pas revenir y passer du temps en hiver par exemple ?) et de nous diriger directement ou presque sur Jökulsárlón !

En partant de Vík, nous avons laissé dernière nous les paysages et les couleurs me rappelant l’île de Skye pour traverser de grandes étendues noires, des champs de coussins de lave recouvert de mousses vertes, puis des glaciers bleutés en arrivant à destination.

Et franchement, là encore je n’ai pas été déçue ; la plage de diamant et la lagune glaciaire sont largement à la hauteur de leur réputation !
J’ai énormément apprécié d’avoir le temps de regarder les icebergs respirer au rythme des vagues sur la plage noire sous un ciel bleu, limpide.
Comme nous avions décidé de passer la nuit à cet endroit, nous avons ensuite eu le temps d’admirer la lumière changer au dessus de la lagune, de voir les phoques jouer dans les eaux froides et les touristes s’en aller petit à petit pour laisser place au calme de la soirée avec une vue imprenable sur les géants de glace en mouvement perpétuel.

 

Astuce : Lire la suite

Le Lolë white tour 2017 à Grenoble.

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Avant de vous embarquer pour la seconde partie du voyage en Islande, je souhaitais vous parler rapidement de mon expérience du Lolë white tour à Grenoble la semaine dernière.

Le Lolë white tour est une série d’évènements organisés par la marque canadienne un peu partout dans le monde autour du yoga.
L’idée est de se rassembler pour pratiquer ensemble et partager un moment dans un lieu un peu atypique, souvent en extérieur. Les séances sont guidées par des professeurs de yoga et chacun.e est invité.e à venir vêtu.e de blanc

Si j’avais déjà eu l’occasion de participer à un meet-up Lolë à Lyon il y a trois ans, je n’avais encore jamais pu prendre part au White Tour. J’aurais pourtant adoré me joindre à la séance sous la verrière du Grand Palais à Paris il y a quelques années de cela si je ne m’y étais pas prise trop tard !

Depuis que la marque a ouvert un atelier à Grenoble, de nombreux événements sont organisés régulièrement. Cela m’a permis de découvrir d’autres types de pratiques et j’apprécie toujours de me rendre dans la boutique où je me sens à chaque fois très bien accueillie.
J’étais donc ravie de pouvoir m’inscrire, moyennant 10 euros, au White Tour cette année, et je n’avais aucun doute là-dessus : j’allais obligatoirement passer un bon moment !

Force est de constater que ça n’a pas été exactement le cas…

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Rendez-vous étais pris le 14 juin en fin d’après-midi au Jardin des Plantes de Grenoble. Pour les gens qui ne sont pas d’ici, c’est en fait le jardin du muséum d’histoire naturelle de la ville, et c’est un endroit vraiment très agréable, avec des serres, une petite roseraie, de beaux arbres et de grandes pelouses.

Malheureusement, Lire la suite

Road-trip en Islande (1/6) : du Blue Lagoon à Vík et ses plages de sable noir.

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Alors qu’il commence à faire bien (trop) chaud en France, je vous propose aujourd’hui d’embarquer avec moi pour la première étape d’un périple, entre glaciers et volcans, au pays des fées, des sources chaudes et de Sigur Rós : l’Islande !

Dans un coin de ma tête depuis l’école primaire, ce pays magique, avec ses aurores boréales, m’a toujours fait rêver. Cependant, il me semblait jusqu’à présent inaccessible car bien trop cher, même pour moi qui ai l’habitude de voyager en Europe du Nord et en Scandinavie, et de traquer les bons plans un peu partout !

Mais à force de rêver de voir ça de mes propres yeux, j’ai fini par me dire qu’il fallait que je m’en donne enfin les moyens… et j’ai donc fini par m’envoler vers Reykjavík en avril dernier !

Je suis partie avec Monsieur Bio pour 10 jours de périple en camping-car autour du pays. Nous avions choisi, pour ce premier voyage en terres islandaises, de suivre la route circulaire et de faire un détour par la péninsule de Snaefellsnes.

L’Islande est devenue une destination très touristique ces dernières années et je n’avais pas du tout envie de me retrouver confrontée aux hordes de touristes ; partir hors-saison était donc une évidence.
De plus, cela nous a également permis de pouvoir louer un camping-car 40% moins cher qu’en plein été. En choisissant ce moyen de transport nous avions opté pour une totale autonomie et n’avons donc pas eu à nous soucier du tout de trouver/réserver des hébergements (nous n’avons même pas passé une seule nuit dans un camping). Nous étions également tranquilles pour les repas que nous avons toujours pu préparer nous-même en faisant nos propres courses.
La désavantage de ce mode de transport étant que du coup, les Hautes Terres, au centre de l’Islande, nous étaient totalement inaccessibles car il faut un véhicule 4×4 pour pouvoir y accéder. Très honnêtement, cela était vraiment très loin d’être un souci pour différentes raisons :
– au mois d’avril la météo est encore rude et la majorité des routes des Hautes Terres est de toute façon fermée à la circulation,
– pour une première découverte de l’Islande, la route circulaire permet déjà de voir énormément de choses,
– et surtout, vous commencez à me connaître, cela fait un bon prétexte pour revenir !

Nous somme donc partis de Genève le 19 avril pour un vol direct sur Keflavík, l’aéroport situé à moins de 40 minutes de routes de Rekjavík.
Le voyage dure environ 4h, mais avec le décalage horaire d’une heure et le fait que l’Islande ne passe pas à l’heure d’été, nous avons eu l’impression d’arriver seulement 2h après notre départ !
Nous nous somme tout de suite dirigés vers notre agence de location afin de récupérer le camping-car et cela a pris bien plus de temps que prévu ! (Je ne vais pas m’étendre là-dessus pour le moment, mais je pense vous préparer un petit article avec quelques conseils, pourquoi pas une estimation des coûts du voyage etc… si cela vous intéresse et que vous comptez à votre tour vous rendre en Islande.)
Bref, après avoir perdu pas loin de 2h, nous étions enfin au volant de l’engin, immédiatement rebaptisée « La Grosse Dondon »,  et en route pour le premier arrêt du voyage : Lire la suite

Society, you’re a crazy breed.

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Sur la BO d’Into the Wild, le film de Sean Penn sorti en 2007. Interprété par Eddie Vedder et composé par Jerry Hannan.
Ce morceau et cet album tournent à nouveau en boucle chez moi. Je vous laisse donc avec ça pour ce long week-end…  Sortez prendre l’air, allez courir, voyagez, prenez le temps d’écouter de la bonne musique, de lire, et profitez.
Le lecteur pour écouter ce titre est juste en dessous des paroles. Et si vous savez qui est l’auteur de la sublime photo de Monsieur Eddie Vedder juste au-dessus, n’hésitez pas à me l’indiquer !

 

It’s a mystery to me
We have a greed
With which we have agreed

You think you have to want
More than you need
Until you have it all you won’t be free

Society, you’re a crazy breed
I hope you’re not lonely without me

When you want more than you have
You think you need
And when you think more than you want
Your thoughts begin to bleed

I think I need to find a bigger place
‘Cause when you have more than you think
You need more space

Society, you’re a crazy breed
I hope you’re not lonely without me
Society, crazy and deep
I hope you’re not lonely without me

There’s those thinking more or less less is more
But if less is more how you’re keeping score?
Means for every point you make
Your level drops
Kinda like it’s starting from the top
You can’t do that

Society, you’re a crazy breed
I hope you’re not lonely without me
Society, crazy and deep
I hope you’re not lonely without me

Society, have mercy on me
I hope you’re not angry if I disagree
Society, crazy and deep
I hope you’re not lonely without me