J’ai testé : les infusions Palais Shanti.

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Il y a un bon moment de cela maintenant, j’ai été contactée par Maxime, le créateur de Palais Shanti pour tester l’une des infusions ayurvédiques de sa jolie marque.
J’ai pris bien plus de temps que nécessaire pour rédiger cet article alors que j’ai pourtant été réellement emballée par ce que j’ai pu goûter ainsi que par la démarche de Maxime. C’est donc tout naturellement que je vous propose aujourd’hui de vous faire découvrir tout ça !

Palais Shanti a vu le jour en 2014 grâce à la volonté de Maxime de créer une maison de thé à taille humain, abordable pour ses clients, et loin des pratiques que l’on retrouve couramment chez nombre de mastodontes du secteur (à savoir le recours aux pesticides lors de la culture, ainsi que l’utilisation d’additifs et d’arômes artificiels au moment de la création des divers thés et infusions).

Ici, tous les thés et tisanes sont biologiques, et il n’est fait aucun ajout d’additifs ou arômes, pas même des huiles essentielles.

Avant même de goûter, j’ai été séduite par le soin apporté au graphisme et au packaging. Tout est sobre, épuré, et respire déjà la sérénité ! Cela colle donc parfaitement au nom de la marque, le mot « shanti » venant du sanscrit et signifiant « paix ».
Les précieuses plantes sont contenues dans des emballages blanc immaculés, en papier épais et recyclable.
C’est exactement ce que j’aime visuellement et je suis ravie qu’on trouve maintenant plus facilement des marques bio et respectueuses de l’homme et de la nature avec ce genre de présentation, loin des clichés et codes esthétiques hippies qui ne me parlent pas et peuvent carrément me faire fuir !

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J’ai reçu l’une des tisanes chakra, et plus précisément celle Lire la suite

Cette année, je loue mon sapin de Noël !

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Noël chez moi, c’est une affaire sérieuse ! J’adore cette période de l’année, j’aime le thé aux épices et le vin chaud, la neige et le froid sec, les lumières qui scintillent, l’air cristallin, dénicher de chouettes cadeaux, réaliser de jolis paquets.
Et ce que j’aime peut-être par-dessus tout, c’est voir un beau sapin trôner dans mon salon pendant plusieurs semaines… mais voilà, ça n’est pas écolo du tout !
Peut-être qu’un jour cela changera, mais pour le moment, impossible pour moi d’imaginer Noël sans sapin !

J’ai eu pendant de nombreuses années un sapin synthétique, que nous utilisions déjà chez mes parents. Bien que j’évite maintenant au maximum le plastique et autres dérivés de pétrole, cela ne me semble pas être une mauvaise alternative, à condition bien-entendu de le conserver le plus longtemps possible.

De mon côté, après des années de bons et loyaux services, il a néanmoins fini par atterrir à la déchèterie. Il commençait à être déplumé et surtout, les pointes des branches étaient à moitié à nu, découvrant un petit bout bien piquant pas vraiment optimum quand on a des chats curieux n’ayant peur de rien et/ou très jeunes.

Du coup, je me suis ensuite rabattue sur les sapins pas chers du géant suédois de l’ameublement qui promettait de les recycler une fois la saison terminée.
Il fallait alors rapporter le sapin en magasin et ça me paraissait plutôt correct à l’époque. Sauf que depuis quelques années, je ne vois plus de trace de cette fameuse histoire de recyclage, et qu’il n’est plus question de ramener l’arbre à la fin des festivités…
J’ai dans tous les cas, décidé de changer de crémerie quand je me suis aperçue qu’en plus de tout ça, les sapins étaient bien moins beaux et hauts qu’avant.

Je me suis alors tournée vers un fleuriste traditionnel tout en commençant sérieusement à chercher une alternative plus écologique. C’était il y a trois ans et jusqu’à cette année, je n’avais pas trouvé de solution. Lire la suite

Road-trip en Islande (3/6) : au Nord toute !

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Hello ! Je sais qu’il y en a parmi vous qui attendaient la suite du périple islandais avec impatience ; j’espère donc que ce troisième épisode sera apprécié !
Et si vous souhaitez retrouver les aventures précédentes, c’est par ici que ça se passe :

  1. Du Blue Lagoon à Vík et ses plages de sable noir.
  2. Cap sur la lagune glaciaire de Jökulsárlón.

Je vous épargne le suspens dès le début : cette partie du voyage a été ma préférée, le nord de l’Islande possède une beauté lunaire, bouillonnante, à couper le souffle !

Reprenons donc le cours du voyage aujourd’hui, 23 avril, au départ de notre petit canyon, où nous nous réveillons avec un peu de neige et les cris des oies sauvages, pour remonter en direction de la région de Mývatn, au nord-est du pays. La route est superbe et la neige ne nous quitte pas : cette journée s’annonce vraiment sous les meilleurs auspices !

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Vatn, en islandais, signifie lac ; Mývatn est donc le « lac aux moucherons ». Pas forcément très engageant de prime abord j’en conviens ! Mais il serait bien bête de s’arrêter à ce nom tant la région possède de trésors à révéler. En outre, si, comme nous, vous voyagez durant la saison froide, aucun risque d’être pris pour cible par les cousins des fameux « midges » écossais !

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Après avoir effectué une bonne partie de la route de la matinée sous la neige, le ciel commence à se dégage et nous arrivons à Hverir avec le soleil. Nous apercevons de la fumée au loin et commençons à sentir une odeur de souffre : pas de doute nous sommes au bon endroit ! Le paysage ocre est sublime. Du rouge, du brun, du jaune. Nous en prenons déjà plein les yeux.
Nous Lire la suite

Que penser du Black Friday ?

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Cela ne vous aura certainement pas échappé, vendredi dernier c’était le Black Friday, un jour de promotions à tout-va, où l’on se retrouve bombardé·e·s de newsletters et de codes de réduction pour un peu tout et n’importe quoi. Ce jour de surconsommation généralisé s’est d’ailleurs peu à peu mué en semaine complète (« cyber week ») et les soldes feraient presque pâle figure à côté aujourd’hui !

Cette « fête » purement commerciale arrive, comme c’est étonnant, tout droit des Etats-Unis et s’inscrit dans le calendrier au lendemain de Thanksgiving (aka « tuons des milliers de dindes pour remercier les peuples natifs de nous avoir permis de les décimer et de les asservir » mais ça c’est encore une autre histoire…).
Chez nous, en France, Thanksgiving n’a aucune signification. Mais avouez qu’il aurait cependant été trop bête de laisser passer ce Black Friday qui tombait quand même fort bien pour combler le vide entre les courses de rentrée et Noël dans le calendrier commercial ! Car oui, ça ne va pas plus loin que ça : trouver un moyen de faire dépenser de l’argent à un moment de l’année où les gens ne le faisaient pas vraiment jusqu’à présent (la faute à pas de besoins particuliers à cette date-là, à l’arrivée du froid, aux jours qui raccourcissent, à la taxe d’habitation…).

Bien évidemment, ce sont les grandes enseignes commerciales et de distribution qui profitent le plus et sans honte de cette frénésie consommatrice car ce sont elles, avec leur arsenal marketing et publicitaire, qui sont les plus à même de convaincre à peu près n’importe qui qu’il ou elle a besoin d’à peu près n’importe quoi…

Oui je sais, j’ai l’air bien remontée comme ça. Et pourtant j’ai moi aussi participé à cette journée.

J’ai d’abord beaucoup apprécié l’initiative de la Camif, par exemple, de fermer les portes de son site de vente en ligne ce jour-là et de proposer à la place des annonces de dons d’objets (cet article de We Demain permet d’en lire un peu plus à ce sujet).
J’ai également trouvé très chouette l’engagement de Pukka, la marque de tisanes de Bristol en Angleterre, de reverser 100% du montant de ses ventes en ligne à des œuvres caritatives de sa région d’origine (pour en savoir plus, c’est ici).
On peut également citer l’association Slow-Cosmétique qui avait décidé, en plus de proposer des promotions, de reverser 1€ par commande à l’association les Bonnes Fées.
Ou encore la marque britannique éthique Komodo qui s’est elle engagée, en accord avec l’association andalouse Danyadara, à planter un arbre pour chaque vêtement vendu.

Et ce ne sont finalement que quelques initiatives parmi d’autres. Du coup cela permet quand même de s’apercevoir que malgré le fait que l’on fasse du commerce, on peut tout de même rester engager et ne pas renoncer à ses idéaux !

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Et puis il faut bien l’avouer, quand on n’a pas forcément des moyens énormes, cette histoire de Black Friday permet de commencer ses cadeaux de Noël en évitant d’exploser le budget ou de faire le plein de matière première pour ses loisirs créatifs. Le tout étant, comme d’habitude, de ne pas se laisser avoir par n’importe quoi et de savoir exactement ce que l’on recherche en ayant réfléchi en amont.
Si vous voulez mon avis, la clé réside dans une consommation à la fois raisonnée et engagée.

J’ai remarqué que bon nombre de petites marques, de labels musicaux indépendants, d’artistes et d’artisans proposaient quand même des réductions. J’imagine que s’ils/elles peuvent le faire, c’est parce que l’augmentation du volume des ventes ou du montant du panier moyen leur permet de combler le petit manque à gagner engendré par la baisse de prix.
Du coup, je n’ai pas hésité à me tourner vers ceux que j’apprécie déjà depuis longtemps (Jacob Bannon, Error Design par exemple) pour voir si je ne trouvais pas de cadeaux pouvant faire plaisir à mon entourage, et je me suis enfin décidée à commander le patron de chemise sur lequel je lorgnais depuis un moment chez Deer & Doe. Et quand je n’ai pas trouvé ce que je cherchais (dans la majorité des cas), je n’ai rien pris, ça n’est pas plus compliqué que ça ! Et je me tourne vers de petits artisans dès que je le peux pour le reste de mes cadeaux !

Et vous alors, quel est votre avis sur cette histoire de Black Friday ?

J’ai testé : le magnésium transcutané

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Bonjour, bonjour ! On se retrouve en cette froide journée de novembre pour parler d’un produit que j’ai testé au cours des dernières semaines.

Je pense que vous avez déjà vu fleurir ces petites bouteilles bleues à droite à gauche sur les blogs car nous avons visiblement été un certain nombre à tester ce produit : l’huile de magnésium transcutané, proposée par la marque Au cœur des Traditions.

Quand j’ai été contactée pour le test, j’avoue avoir eu deux réactions en une ! J’ai à la fois hésité car j’avais bien vu que ce produit avait été proposé à beaucoup de monde (je l’avais d’ailleurs découvert grâce au test de Camille de Mange tes légumes), et j’ai en même temps été emballée car je suis moi-même très sujette à la carence en magnésium, que j’en fais donc des cures régulières, et que je m’étais aperçu très peu de temps auparavant que toutes les formes de magnésium n’étaient pas assimilables de la même manière par le corps humain.

Je m’explique ! Il existe en effet plusieurs types de sel de magnésium que l’on peut utiliser en cure afin de compléter l’apport en magnésium par notre alimentation, souvent insuffisant aujourd’hui.

Les trois grandes formes de sels de magnésium qui existent sont les suivantes :

  1. Les organiques : comme les glycérophosphate, les citrates et les malates. Ce sont ces formes là qu’il faut à mon avis privilégier car elles présentent les deux avantages d’être facilement assimilables par le corps humain et d’être bien tolérées.
  2. Les inorganiques (ou métalliques) : chlorures et oxydes ou hydroxyde, entres autres. Ces formes sont peut-être les plus répandues dans les compléments les plus courants, mais malheureusement elles ne sont pas idéales car en plus de provoquer chez certaines personnes des désagréments de transit, elles ne sont en fait pas bien assimilables par le corps humain.
  3. Les chélatées (ou aminocomplexées) : ce sont par exemple les bisglycinates ou les hydrolysats de protéines. Elles sont elles aussi bien tolérées.

Je n’avais jamais vraiment fait plus attention que ça à la composition de mes compléments jusqu’à cet été. Mais c’est à ce moment-là, alors que je prenais un complément magnésium / B6 depuis un moment,  que j’ai réalisé qu’il n’avait strictement aucun effet sur moi.
De mon côté il y a un signe qui ne trompe pas sur le fait que je manque de magnésium : mes paupières « clignotent ». Vous savez ces petits spasmes très désagréables… Et bien malgré mon complément, ils ne disparaissaient pas du tout.

J’ai par conséquent regardé la composition sur mon flacon et constaté qu’il contenait de l’oxyde de magnésium.
J’ai donc changé tout de suite pour un autre complément à base de glycérophosphate, et ça a été le jour et la nuit de manière immédiate : plus du tout de spasmes des paupières, et moins de stress. J’ai été bluffée !

J’ai également repensé à  mon essai du nigari, qui s’était soldé par un échec total car en plus d’avoir un goût atroce, j’avais trouvé ça totalement inefficace. Le nigari étant en fait du chlorure de magnésium, cela confirme bien que sur moi, les formes inorganiques ne marchent pas, ou mal.

J’avoue donc que j’étais perplexe sur l’efficacité de l’huile de magnésium transcutané. C’est en effet du magnésium marin qui est l’une des formes inorganiques…

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J’ai reçu une jolie une jolie bouteille en verre bleu dont j’ai beaucoup apprécié l’esthétique robuste et traditionnelle. Si la marque est française, l’huile de magnésium provient  Lire la suite

J’ai testé : la Biotyfull Box de septembre.

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Alors que l’on peut déjà lire des avis sur les produits à peine testés de la Biotyfull box du mois d’octobre, je vous propose de mon côté de vous faire part aujourd’hui de mon expérience avec ceux de la box de septembre ! 😀

A nouveau expédiée via le transporteur GLS, la box a cette fois encore connue quelques difficultés pour me parvenir ! Ce mois-ci néanmoins, le livreur, s’il n’a comme à son habitude pas daigné faire le déplacement jusqu’à chez moi, s’est au moins donné la peine de déposer la box dans un point relais à moins de 20 minutes en voiture…
Je ne sais pas si vous avez également des soucis avec ce transporteur, mais de mon côté, c’est le mal absolu ! Si je commande en général très largement moins par internet qu’il y a quelques années, j’ai aussi carrément cessé de valider mes paniers lorsque je vois que le seul transporteur proposé est GLS tant j’ai eu de problèmes avec eux. Du coup je ne suis pas vraiment ravie de voir que Biotyfull Box a choisi cette option !

Maintenant que ce petit point est souligné, entrons dans le vif du sujet : la composition de la box ! Que cachait dont la petite boite au design plus épurée le mois dernier (ce qui n’est d’ailleurs pas pour me déplaire, même si je l’ai trouvée un peu trop girly à mon goût) ?

En septembre, pas de goodie superflu et cinq produits, full-size comme toujours. La box est bien remplie, et la première impression est bonne.
Les produits changent un peu de d’habitude et, à première vue, correspondent (pour certains) mieux à ce que j’aurais pu acheter par moi-même.

Je suis par exemple contente de trouver enfin Lire la suite

J’ai testé : le complexe « Brillance cheveux bio » de Fitoform.

Bien que je ne sois pas partie en vacances à la mer ou au soleil cet été, mes cheveux longs ne se portaient pas franchement très bien à la fin du mois d’août. Enfin, pour être tout à fait honnête, ils n’étaient pas en super forme depuis bien plus longtemps que ça, et je ne m’en étais pas tellement occupée depuis une éternité.
Les soins des cheveux ne sont pas exactement ma passion et je considère même toujours un peu ça comme une corvée !

Mais là, j’ai donc fini par décider de reprendre les choses en main avec une bonne coupe afin de me débarrasser des fourches et des pointes cassantes, accompagnée d’une petite cure avec un complément alimentaire de la marque française Fitoform, intitulé Brillance cheveux Bio. Fin août, la machine était lancée !

Je suis d’abord passée par la case coiffeur chez Esthéticoiff à Grenoble pour une bonne coupe d’environ 25 cm et une coloration végétale cuivrée Marcapar. Tout s’est très bien déroulé, mes cheveux ont retrouvé de la masse et un peu de douceur.
Immédiatement après cette coupe, j’ai entamé ma cure d’une mois avec les petites capsules Fitoform.

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Si vous souhaitez voir un « avant / après » la coupe, rendez-vous tout en bas de l’article avec 2 photos très moches mais qui permettent de se rendre compte de l’ampleur de la chose !

Composées d’huiles d’onagre, de carthame et de bourrache (et de vitamine E), elles sont censées aider à retrouver de la brillance et de la vitalité.
Ce complément est certifié bio (Ecocert / AB) et toutes les huiles qu’il contient sont obtenues par pression à froid afin d’en conserver les propriétés bénéfiques.

Fitoform propose un autre complexe destiné à la beauté des cheveux, appelé Fortification, qui me semblait très intéressant (peut-être plus encore ?) mais que j’avais néanmoins écarté car il n’est pas bio.

J’ai malheureusement eu la mauvaise surprise, à la réception de mon produit, de découvrir que les capsules Lire la suite

Copenhague 2017 : le semi-marathon de l’apocalypse !

Bonjour, bonjour ! Me voilà de retour après un petit séjour dans la capitale danoise où j’ai passé quelques jours à l’occasion du semi-marathon.
Je souhaite aujourd’hui revenir sur cette course bien particulière qui ne risque pas de s’effacer de ma mémoire de sitôt !

L’an dernier à la même époque, je courais mon tout premier semi-marathon à Oslo, très probablement l’une de mes villes favorites au monde (oui, carrément, pourquoi s’embêter avec de la demi-mesure, hein ?!).

Cette première expérience sur 21km m’avait tellement enchantée, qu’à peine la course terminée je pensais déjà à la suivante que j’envisageais de courir en Ecosse, pays dans lequel j’aimerais beaucoup m’expatrier.
Après une petite réflexion, j’ai finalement décidé de garder l’Ecosse sous le coude pour mon premier marathon et j’ai alors choisi de mettre le cap sur Copenhague. Je connaissais vaguement la ville, mon premier passage par ses rues m’avait beaucoup plu, et j’avais en plus lu pas mal d’avis positifs sur son semi-marathon.
Je me suis donc inscrite dès le mois de mars avec l’objectif de m’entraîner correctement pour passer sous la barre symbolique des 2h.

Bien entendu, rien ne s’est passé comme prévu ! Comme vous le savez déjà, j’ai malheureusement été touchée par une vilaine mononucléose qui m’a littéralement mise à plat pendant de très longues semaines.

Début août, je ne pensais même pas pouvoir prendre le départ car je n’avais pas pu pratiquer la moindre activité physique depuis plusieurs mois. Et puis, miracle, j’ai commencé à me sentir un peu mieux et j’ai pu rechausser les baskets le 11 août. Rien de transcendant mais quand même. Si mon objectif d’1h59 n’était plus du tout d’actualité, j’étais convaincue que j’allais tout de même pouvoir courir ce semi-marathon !
Etant encore en convalescence et n’ayant pu faire que 8 sorties, j’ai pris la précaution de changer de sas de départ ; un temps de 2h15 (soit plus que sur mon premier semi) me semblait bien plus raisonnable.

Je suis arrivée à Copenhague le 14 septembre et j’ai pu repérer le départ et récupérer mon dossard dès le lendemain.
Contrairement à Oslo, le village de course n’est pas situé du tout au cœur de la ville mais dans un quartier plutôt huppé et résidentiel, que j’ai trouvé un peu excentré (bien que la ville ne soit pas très étendue et reste très facile à parcourir à pied).

Tout est fait pour le sport dans ce coin puisqu’on y retrouve un grand complexe (Sparta Hallen) et le parc le plus vaste de Copenhague (Faelledparken).
J’avoue avoir été très nettement moins emballée par cet endroit que par le village de course et le départ vraiment dépaysant et à la saveur particulière entre les quais et l’imposant hôtel de ville d’Oslo l’an dernier.
Là, j’ai presque eu l’impression de me retrouver à Grenoble, entre le palais des sports et le parc Paul Mistral pour le départ du Grenoble-Vizille

Le retrait des dossards était cependant plutôt bien organisé, sans longues files d’attente, avec malgré tout, l’impossibilité d’obtenir un t-shirt femme en taille S. J’y suis pourtant allée 2 jours de suite, et à chaque fois, le même discours : on en aura d’ici une heure ou deux… soit. Le XS fera bien l’affaire finalement !

Le dimanche, jour de la course, Lire la suite

♥ Coup de coeur pour Savon Stories ♥

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Bonjour, bonjour ! Me voilà un peu de retour après une longue absence et un été bien plus chaotique que prévu, avec beaucoup de travail au moment où j’aurais dû me reposer à cause d’une vilaine mononucléose… cela fait partie des joies de l’indépendance ! Bref, si je n’ai toujours pas beaucoup de temps ni d’énergie à consacrer à autre chose que l’essentiel pour le moment, cela ne va néanmoins pas m’empêcher d’essayer de reprendre le fil par ici.

Et pour recommencer en douceur, je vous propose de vous parler un peu de l’un de mes récents coups de cœur ! Il s’agit de la marque anglaise Savon Stories, originaire de la région du Surrey, dans le sud-est du pays.

Inspirée par le mode de vie simple et minimaliste du grand-père de la créatrice de la marque, les produits Savon Stories se veulent le plus naturel possible. On retrouve ainsi des savons solides et liquides, tous saponifiés à froid (oui oui, même pour les liquides !), du rhassoul, des huiles végétales, des lotions hydratantes solides, et des baumes exfoliants, mais également une quinzaine d’huiles essentielles.

Les produits sont à la fois non testés sur les animaux et vegan, sans huile de palme, 100% bio (99% pour les savons liquides), et fabriqués en Angleterre.
Et en plus les visuels sont super cool, non ?!

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J’avoue que Lire la suite

Mon avis sur la Biotyfull Box de juillet.

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En ce mois de juillet, l’équipe de la Biotyfull Box a décidé de nous faire voyager avec son édition baptisée « La Paradisiaque » et ornée d’un lagon aux eaux turquoises !
A l’ouverture, ce sont quatre produits full-size que l’on découvre accompagnés d’un goodie.
Les quatre produits sont présentés comme étant des exclusivités mais je vous avoue ne pas être certaine de ce que cela signifie car on les retrouve en vente sur les sites respectifs des marques…

Le premier d’entre eux est une brume parfumée de la marque Acorelle dont j’apprécie le côté sans prétention et les prix abordables.
Il me semble également important de souligner que pour chaque eau d’été achetée, Acorelle reverse 1€ à la Surfrider foundation, une association qui œuvre pour la protection des océans.

Avec son design tropical, il n’y a aucun doute, il s’agit bien là d’une eau parfumée estivale ! Son odeur, très sucrée, est également parfaitement adaptée à la saison.
Je n’aime en général pas du tout ce type d’odeur mais là, sans que je sache vraiment dire pourquoi, je m’incline car je suis contente à chaque fois que je l’utilise ! Elle est toute fraîche sur la peau, et sent bon les vacances !

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Du côté de sa composition, on retrouve 100% d’ingrédients d’origine naturelle, dont 78% issus de l’agriculture biologique. Ce produit est certifié Ecocert et fabriqué en France, et il me semble qu’il est vegan.
A noter également qu’il Lire la suite