Les dermatos n’aiment pas le bio…

Un petit article coup de gueule aujourd’hui.
Non mais sérieusement, elles (oui je ne suis tombée que sur des femmes) ont quoi ces foutues dermatologues à la fin ?

Je sors tout juste d’un rendez-vous avec le plus beau spécimen qu’il m’ait été donné de rencontrer à ce jour.
Pour situer un peu les choses : j’avais rendez-vous cet après-midi avec une nouvelle dermatologue à cause d’une grosse plaque d’eczéma au niveau du coude et quelques boutons qui trainent sur mon visage.

Je voulais en tester une nouvelle car les précédentes n’ont environ jamais écouté ce que j’avais à leur dire, m’ont systématiquement prescrit les mêmes crèmes qui n’ont jamais marché et n’ont jamais cherché à aller plus loin…

Deuxième précision, j’ai utilisé, sur les conseils de ma dermato initiale, la même crème de jour Avène pendant environ 10 ans qui ne m’a jamais vraiment convenu… ni « déconvenu » d’ailleurs. En gros j’ai été persuadée pendant 10 ans que c’est ma peau qui déconnait parce que cette crème avait l’air d’être le graal. Elle n’aggravait pas les petits problèmes mais ne rendait pas ma peau plus confortable. Et puis elle était trop légère pour l’hiver où j’avais la peau qui tiraillait plus que jamais.

Les choses se sont nettement améliorée l’été dernier quand j’ai découvert la fameuse crème à la mélisse Dr Hauchska qui a purement et simplement résolu mes problèmes de peau qui s’écaille autour de la bouche et sur les joues que je trainais depuis 10 ans. Point. Il n’y a pas photo, c’est beaucoup mieux maintenant.
Là, j’ai de nouveau quelques boutons un peu rebelles suite à un ratage avec ma pilule et à énormément de stress (je pense que ça joue, vous en dites quoi vous ?).

Quant à l’eczéma, la fameuse plaque s’est agrandie cette année et me démange horriblement. L’ancienne dermato m’avait déjà prescrit une crème à la cortisone, qui n’avait eu aucun effet (à part me décolorer la peau…).  Ce que j’ai dit à la nouvelle. Et ? Et je suis repartie avec une autre crème à la cortisone (déjà testé elle aussi d’ailleurs).

En plus de ça, je me suis fait engueuler à cause de mon gel douche bio et de ma crème de jour bio. Soit disant qu’il ne faut utiliser QUE des marques de pharmacies pour être sûr qu’il n’y ait pas de parabens, de parfum etc. J’en profite pour préciser que le savon qu’elle me conseille contient un parfum artificiel…cherchez l’erreur ! Mais le bio, par contre, c’est le mal. Et vous comprenez les plantes c’est pas bien. Les champignons vénéneux vous connaissez qu’elle me demande ? Et bien vous le voyez bien alors que la nature c’est le mal. Arrêtez vos conneries immédiatement avant qu’il ne soit trop tard et allez donc acheter ma crème à la cortisone, mon savon et mon shampoing de para-pharmacie parce que bon là, vos cheveux ils ont l’air bien mais ça va pas durer.

Oui vous ne rêvez pas, elle m’a bien demandé de changer de shampoing alors que je venais pour une et une seule plaque d’eczéma sur le coude.

Alors je ne suis pas idiote et je sais parfaitement que les plantes ne sont pas forcément inoffensives, que certaines sont très allergènes etc etc. D’ailleurs je vis avec un biologiste scientifique ultra rationnel qui m’explique plein de choses et qui me permet de comprendre les compos. Je ne dis pas que le naturel c’est le bien et le chimique le mal. Je pense qu’il faut nuancer tout ça, se renseigner, chercher ce qui convient le mieux à chacun tout en essayant de respecter au maximum le monde qui nous entoure.

Je n’aime pas les gens qui refusent de vous écouter tout en vous certifiant qu’ils détiennent la vérité. Il n’y a pas qu’une vérité de toute façon dans ce genre de domaine.
(Et puis celle-là elle m’a également dit d’arrêter de mettre des bijoux de pacotille en nickel en regardant ma grosse bague en ARGENT faite à la main par une super créatrice de Philadelphie (BloodMilk) et acheté directement auprès d’elle)

Seulement voilà, maintenant, après avoir testé 4 dermatos, m’être fait dire plusieurs fois que le bio et le naturel c’était pas bien, et être toujours repartie avec les mêmes produits des mêmes marques je me pose de plus en plus de questions. Est-ce que les labos font tant pression que ça, d’une manière détournée, en laissant des échantillons etc, pour que l’on recommande leurs produits? Est-il même possible qu’il y est des avantages financiers ou autres derrière tout ça ? Vous avez des pistes là-dessus ?
Je suis vraiment curieuse de connaitre vos avis et vos expériences car ce dernier rendez-vous m’a vraiment laissée en colère et perdue à la fois.

Et je suis donc plus que jamais à la recherche d’un(e) dermato qui partage un peu plus mes convictions et écoute vraiment mes problèmes au lieu de faire mécaniquement une ordonnance générique, pas du tout adaptée à mon cas.

PS : si vous avez des adresses à Grenoble ou même dans toute la région Rhône-Alpes je suis preneuse !

Je suis maaaalaaaade !

Ça y est le beau temps revient et évidemment c’est le moment pour moi de tomber malade… hum hum. Rien de tout l’hiver et voilà ! Enfin, rien de bien grave, un simple petit rhume. Mais comme le nez bouché n’est quand même pas très agréable, j’en ai profité pour tester une petite inhalation maison à base d’huiles essentielles. J’ai choisi les suivantes :

Laurier noble (laurus nobilis) :

L’huile essentielle de laurier est antibactérienne et elle favorise l’élimination des sécrétions respiratoires.

Pin sylestre (pinus sylvestris) :

L’huile essentielle de pin sylvestre est un antiseptique respiratoire.

Pour faire mon inhalation, j’ai simplement ajouté 2 gouttes d’HE de laurier et 2 gouttes d’HE de pin dans un grand bol d’eau bouillante, et j’ai utilisé la bonne vieille méthode de la serviette sur la tête car je n’ai pas de « vrai » inhalateur !
Et je peux dire que c’est drôlement efficace pour déboucher le nez.

PS: j’utilise les huiles essentielles de la marque drômoise Solaure, certifiée AB et Nature & progrès, car je connais très bien leur méthode de fabrication et qu’elles sont produites juste à côté de la maison familiale dans les collines dioises !

Douze déodorants sans sels d’aluminium au banc d’essai.

Je suis tombée tout à l’heure sur une émission de la télé suisse-romande très intéressante (lien en bas de cet article) sur les déodorants et notamment l’utilisation des sels d’aluminium et de leurs alternatives.


Douze déodorants exempts de sels d’aluminium et de pierre d’alun ont été testés, certains bios, d’autres pas du tout. En voilà donc la liste, classée par ordre d’efficacité :

1 : Axe / Final Edition 2012 pour homme. Mais les gaz propulseurs utilisés pour ce spray sont mauvais pour la couche d’ozone et il y a un doute quant à la nature du « parfum » utilisé (naturel, synthétique ? Aucune précision à ce sujet). Je crois de plus que ce déodorant précis n’est pas disponible en France.
2 : Bourgeois / Déodorant net et frais. Mais non écologique, toujours à cause des gaz propulseurs. Et on se trouve en présence d’une substance allergène moyenne qui sert à masquer les odeurs : le butylphényl methylpropional.
3 : Nivéa / Pur et natural action 48h mais présence là encore du butylphényl methylpropional et de citronellol.
4 : Dr Hauschka / Déodorant douceur. Mais très cher (le second du test) et présence d’alcool.
5 : Weleda / Salvia. Présence d’alcool.
6 : Kibio / Soin protecteur
. Présence de benzyl alcohol, classé comme allergène et dont la déclaration est obligatoire.  De plus, je l’ai personnellement testé sans être très convaincue par son efficacité malheureusement.

Les autres déodorants testés ne semblent pas très efficaces :

7 : Melvita pour hommes. Plutôt cher et présence de benzyl alcohol.
8 : Nuxe / Bio Beauté
9 : Biotherm / Déo pure
10 : Santé / Naturkosmetik
11 : Vichy / Déodorant apaisant 24h.
Déodorant le plus cher de ces tests en Suisse et produit très chimique, mais sans alcool.
12 : The Body Shop / Déo effet sec

L’alcool, qui semble être une bonne alternative aux sels d’aluminium quand il est associé à des huiles essentielles, a néanmoins un effet irritant et asséchant. Attention donc à ne pas appliquer de déo contenant de l’alcool après l’épilation ! 

Les déodorants considérés comme les plus efficaces lors de ce test sont ceux qui contiennent un parfum de synthèse qui masque les odeurs.
Ce ne sont donc personnellement pas ceux vers lesquels j’aurais tendance à me tourner, mais peut-être que mon homme, peu convaincu par les déos bio (il a pour le moment testé le Melvita pour homme et le B comme Bio organic pour homme) pourraient les apprécier.

Pour ma part, je testerais bien le Dr Hauschka car c’est une marque que j’apprécie énormément par ailleurs (je ne peux carrément plus me passer de mes crèmes à la mélisse et au coing), mais il reste très cher en France également. Peut-être que je me laisserai tenter lors de ma prochaine virée en Belgique car les produits Hauschka y semblent moins onéreux qu’ici.
En attendant, je vais probablement remplacer ma pierre d’alun par une déodorant Weleda. Je suis en effet de plus en plus sceptique quant à l’utilisation de cette fameuse pierre, je ne sais plus quoi en penser, lisant une chose et son contraire à son sujet. Et puis il faut bien avouer que je suis moyennement convaincue de son efficacité après plusieurs mois d’utilisation (j’avais changé de marque suite à mes déboires avec Déoroche, souvenez-vous) et cela avant tout parce que je trouve que la pierre elle-même sent la transpiration alors que je l’essuie après chaque utilisation. Et vous, quel est votre avis d’ailleurs ? Je suis preneuse de toute expérience et embryon de solution à ce sujet !

La conclusion est donc que pour le moment il n’y a malheureusement pas d’agent anti-transpirant naturel et inoffensif miracle pour remplacer les sels d’aluminium, il faut donc faire des choix. Le risque de quelques auréoles ou celui d’un danger potentiel pour la santé ?

Lien vers  le reportage diffusé dans l’émission A Bon Entendeur de la Télévision Suisse-Romande : http://www.tsr.ch/emissions/abe/sante-cosmetique/3704474-des-sels-d-aluminium-sous-les-aisselles-une-odeur-de-soufre.html.

Cet hiver j’ai testé le jus d’argousier Weleda.

Cet hiver c’est décidé, la fatigue, le nez qui coule en permanence et l’envie de ne rien faire à part me rouler en boule sous ma couette : c’est fini !

Pour m’aider dans ma quête de tonus hivernal, je me suis dit qu’un petit soutien ne serait pas de trop. Je n’ai pas hésité bien longtemps avant de me tourner vers le jus d’argousier bio de Weleda.
Les raisons de mon choix sont très simples : j’aime bien les produits Weleda en général, je les trouve bien souvent efficace et la composition est toujours à la hauteur de mes attentes ce qui n’est quasiment jamais le cas pour les pillules / jus / sirops / ampoules / etc…  que l’on peut trouver pour nous aider à combattre le froid et la fatigue.

Ce jus Weleda, lui, contient 100 % de pur jus de baies d’argousier certifié bio. Il se présente sous la forme d’une bouteille de 200 ml en verre vert, caractéristique des produits de la marque. Ce type de bouteille a l’air d’en rebuter certain si j’en crois les avis que j’ai pu lire à droite à gauche, notamment sur Beauté Test, mais pour ma part, cela me convient très bien.

Il est conseillé de boire ce jus de la manière suivante : 1 cuillère soupe diluée dans un verre d’eau ou un jus de fruit 2 à 3 fois par jour avant les repas pendant 3 à 6 semaines.

C’est pleine de bonne volonté que je m’attaque à ma bouteille. Et là un gros problème se pose : l’odeur du jus. Je la trouve fortement désagréable (très désagréable même pour tout vous dire), et pour moi qui suis particulièrement sensible aux odeurs, il n’y aurait pas pu avoir un plus mauvais point de départ, surtout le matin au réveil.
Je dilue tout de même ma cuillère à soupe de jus dans un grand verre d’eau. Mais même dilué, ça sent toujours et ça me fait un peu peur cette histoire. Quelle goût cela va-t-il avoir ?
Et bien là, ça s’améliore un peu car le goût est moins prononcé que l’odeur. Ça ne reste tout de même pas forcément très agréable.
J’arrête de respirer et avale mon verre d’une traite.
Peut-être faudrait-il tenter avec du jus de fruit mais je ne me sens pas le courage de sacrifier mon verre de jus d’orange sans lequel je n’arrive pas à démarrer ma journée, tout simplement.

Je réitère l’expérience avant le repas de midi. Et cela pendant 4 jours. Mais je n’arrive toujours pas à m’habituer à cette odeur ni à ce goût. Je décide donc de ne plus en prendre qu’une fois par jour, on verra bien.

Au bout de mes 3 petites semaines de « cure allégée » avec une seule prise par jour, je ne me suis toujours pas habituée et je n’ai même plus envie de continuer. Et pourtant quel dommage car j’ai vraiment l’impression que ce jus marche. Je ne sais pas si avec une seule cuillère par jour je peux vraiment me rendre compte mais j’ai quand même réellement eu l’impression d’être plus tonique, moins fatiguée et je n’ai pas été malade de l’hiver pour le moment, même pas un petit rhume, ce qui est plutôt rare (j’ai fait la cure au mois de novembre).

Peut-être aurais-je du essayer le sirop plutôt que le jus, je ne sais pas. Le sucre et le miel qu’il contient doivent probablement masquer ce goût désagréable mais je voulais justement éviter un produit trop riche en sucre.

A mon grand regret, je n’ai donc pas été convaincue du tout par ce jus alors qu’il me semble efficace. Passer outre son odeur m’a été impossible et je ne compte donc plus en racheter et pour le moment je retourne à mon citron bio pressé !

Et vous l’avez-vous testé ? Connaissez-vous d’autres produits de ce type qui pourraient mieux me convenir ?

Déoroche ? Grosse arnaque oui !

Edit du 11/01/2018 : comme me le fait très justement remarquer une lectrice ce jour, il semblerait que Déoroche ne propose plus le stick que je possédais à l’époque de la rédaction de cet article, il y a maintenant plus de 6 ans, mais bien un nouveau stick, réellement naturel, composé d’une pierre 100% potassium alun du Panama ».

Vous avez déjà eu l’impression de vous faire avoir alors que vous souhaitiez au contraire « bien faire » ? C’est agaçant, pas vrai ?
Et bien c’est ce qu’il vient de m’arriver avec cet histoire de Déoroche.J’ai toujours été une grosse consommatrice de déodorants en tout genre. Surtout les bien chimiques et bien toxiques en y réfléchissant bien !
Et puis comme beaucoup de monde je me suis aperçue que ça n’était vraiment pas bon du tout pour la santé et que finalement je ne transpirais pas plus qu’une autre contrairement à tout ce que j’avais pu croire à l’adolescence (qu’on est c*n à cet âge là quand même).

Alors je me suis mise à tester différents déo bio, plus ou moins efficaces et dont on parlera peut-être un autre jour. Mais j’ai surtout cru avoir trouvé le saint graal avec cette fameuse pierre d’alun que je croyais naturelle. Jusqu’à hier après-midi…

Je ne sais pas pourquoi, mais j’ai regardé de quoi il retournait sur l’emballage et là, bim, j’ai vu ça : ammonium alun.  Pourquoi je n’avais pas fait attention avant ? En grande partie parce qu’il est écrit 100 % natural deodorant en gros devant déjà. Bonjour l’arnaque oui ! Rien de plus chimique que cet ammonium alun, fabriqué à priori en Asie à partir de sel d’ammonium (sous-produit de l’industrie chimique lourde).

La vrai pierre d’alun, 100% naturelle est elle composée à 100% de potassium d’alun.

Du coup je me retrouve avec ce foutu Déoroche presque neuf (et oui, c’est économique par contre ce trucs-là, ça on ne peut pas lui enlever !) et il faut que je rachète une vraie pierre.

Et vous, vous utilisez quoi : déo ou pierre d’alun naturelle ? A moins que vous ne vous soyez également fait avoir par Déoroche…

Les parabens sont-ils vraiment dangereux ?

Les parabens, qu’est-ce que c’est ?

Pour simplifier, les parabens sont des dérivés du pétrole qui, grâce à leurs propriétés antifongiques et antibactériennes sont utilisés comme conservateurs pour les aliments, les médicaments et les produits cosmétiques.

Les parabens de synthèse les plus connus sont les suivants :

  • methylparaben
  • ethylparaben
  • propylparaben
  • butylparaben
  • isopropylparaben
  • isobutylparaben
  • benzylparaben

Certains d’entre eux sont présents à l’état naturel dans les fruits comme la fraise ou la mûre, ou encore dans les produits issus du travail des abeilles comme la gelée royale ou la propolis.

Jusqu’à il y a très peu de temps, une écrasante majorité de produits cosmétiques (80% au moins) comportait un ou plusieurs types de parabens

La controverse.

C’est en 2004, suite à la publication d’une étude contestée du Dr Darbre dans laquelle il mettait en évidence la présence de parabens dans des tissus mammaires cancéreux, que la polémique surgit.

Aucun rapport de cause à effet n’est mis en évidence, mais la sonnette d’alarme est bel et bien tirée !

Nous apprenons également que ces fameux parabens jouent très probablement un rôle de perturbateurs endocriniens. En clair cela signifie qu’ils pourraient provoquer des dérèglements hormonaux et avoir des conséquences sur la fertilité masculine.

Pour couronner le tout, des chercheurs de l’Université de Tokyo ont montré récemment que le methylparaben (pourtant réputé le plus sûr jusqu’à présent) contenu dans les crèmes solaires favorise le vieillissement cutané. Un comble pour une protection solaire !

Nous dirigeons-nous vers la fin des parabens dans nos cosmétiques ?

Il semblerait que oui.
La proposition de loi Lachaud a en effet été adoptée le 3 mai 2011 par l’Assemblée nationale contre l’avis du gouvernement.
Voici le texte, très simple, de cette proposition : “La fabrication, l’importation, la vente ou l’offre de produits contenant des phtalates, des parabènes ou des alkylphénols sont interdites”.

Mais, avant qu’elle n’entre en vigueur, cette loi doit néanmoins être également adoptée par le Sénat, puis validée par l’Europe.

En attendant , il existe des alternatives.

Il existe bien entendu des alternatives avec les produits biologiques. En effet les conservateurs de synthèse sont alors remplacés par exemple par l’extrait de pépin de pamplemousse ou le tocophérol (vitamine E), entre autres. Mais c’est une autre histoire qu’il faudrait que je prenne le temps de vous raconter !