Que penser du Black Friday ?

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Cela ne vous aura certainement pas échappé, vendredi dernier c’était le Black Friday, un jour de promotions à tout-va, où l’on se retrouve bombardé·e·s de newsletters et de codes de réduction pour un peu tout et n’importe quoi. Ce jour de surconsommation généralisé s’est d’ailleurs peu à peu mué en semaine complète (« cyber week ») et les soldes feraient presque pâle figure à côté aujourd’hui !

Cette « fête » purement commerciale arrive, comme c’est étonnant, tout droit des Etats-Unis et s’inscrit dans le calendrier au lendemain de Thanksgiving (aka « tuons des milliers de dindes pour remercier les peuples natifs de nous avoir permis de les décimer et de les asservir » mais ça c’est encore une autre histoire…).
Chez nous, en France, Thanksgiving n’a aucune signification. Mais avouez qu’il aurait cependant été trop bête de laisser passer ce Black Friday qui tombait quand même fort bien pour combler le vide entre les courses de rentrée et Noël dans le calendrier commercial ! Car oui, ça ne va pas plus loin que ça : trouver un moyen de faire dépenser de l’argent à un moment de l’année où les gens ne le faisaient pas vraiment jusqu’à présent (la faute à pas de besoins particuliers à cette date-là, à l’arrivée du froid, aux jours qui raccourcissent, à la taxe d’habitation…).

Bien évidemment, ce sont les grandes enseignes commerciales et de distribution qui profitent le plus et sans honte de cette frénésie consommatrice car ce sont elles, avec leur arsenal marketing et publicitaire, qui sont les plus à même de convaincre à peu près n’importe qui qu’il ou elle a besoin d’à peu près n’importe quoi…

Oui je sais, j’ai l’air bien remontée comme ça. Et pourtant j’ai moi aussi participé à cette journée.

J’ai d’abord beaucoup apprécié l’initiative de la Camif, par exemple, de fermer les portes de son site de vente en ligne ce jour-là et de proposer à la place des annonces de dons d’objets (cet article de We Demain permet d’en lire un peu plus à ce sujet).
J’ai également trouvé très chouette l’engagement de Pukka, la marque de tisanes de Bristol en Angleterre, de reverser 100% du montant de ses ventes en ligne à des œuvres caritatives de sa région d’origine (pour en savoir plus, c’est ici).
On peut également citer l’association Slow-Cosmétique qui avait décidé, en plus de proposer des promotions, de reverser 1€ par commande à l’association les Bonnes Fées.
Ou encore la marque britannique éthique Komodo qui s’est elle engagée, en accord avec l’association andalouse Danyadara, à planter un arbre pour chaque vêtement vendu.

Et ce ne sont finalement que quelques initiatives parmi d’autres. Du coup cela permet quand même de s’apercevoir que malgré le fait que l’on fasse du commerce, on peut tout de même rester engager et ne pas renoncer à ses idéaux !

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Et puis il faut bien l’avouer, quand on n’a pas forcément des moyens énormes, cette histoire de Black Friday permet de commencer ses cadeaux de Noël en évitant d’exploser le budget ou de faire le plein de matière première pour ses loisirs créatifs. Le tout étant, comme d’habitude, de ne pas se laisser avoir par n’importe quoi et de savoir exactement ce que l’on recherche en ayant réfléchi en amont.
Si vous voulez mon avis, la clé réside dans une consommation à la fois raisonnée et engagée.

J’ai remarqué que bon nombre de petites marques, de labels musicaux indépendants, d’artistes et d’artisans proposaient quand même des réductions. J’imagine que s’ils/elles peuvent le faire, c’est parce que l’augmentation du volume des ventes ou du montant du panier moyen leur permet de combler le petit manque à gagner engendré par la baisse de prix.
Du coup, je n’ai pas hésité à me tourner vers ceux que j’apprécie déjà depuis longtemps (Jacob Bannon, Error Design par exemple) pour voir si je ne trouvais pas de cadeaux pouvant faire plaisir à mon entourage, et je me suis enfin décidée à commander le patron de chemise sur lequel je lorgnais depuis un moment chez Deer & Doe. Et quand je n’ai pas trouvé ce que je cherchais (dans la majorité des cas), je n’ai rien pris, ça n’est pas plus compliqué que ça ! Et je me tourne vers de petits artisans dès que je le peux pour le reste de mes cadeaux !

Et vous alors, quel est votre avis sur cette histoire de Black Friday ?

Society, you’re a crazy breed.

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Sur la BO d’Into the Wild, le film de Sean Penn sorti en 2007. Interprété par Eddie Vedder et composé par Jerry Hannan.
Ce morceau et cet album tournent à nouveau en boucle chez moi. Je vous laisse donc avec ça pour ce long week-end…  Sortez prendre l’air, allez courir, voyagez, prenez le temps d’écouter de la bonne musique, de lire, et profitez.
Le lecteur pour écouter ce titre est juste en dessous des paroles. Et si vous savez qui est l’auteur de la sublime photo de Monsieur Eddie Vedder juste au-dessus, n’hésitez pas à me l’indiquer !

 

It’s a mystery to me
We have a greed
With which we have agreed

You think you have to want
More than you need
Until you have it all you won’t be free

Society, you’re a crazy breed
I hope you’re not lonely without me

When you want more than you have
You think you need
And when you think more than you want
Your thoughts begin to bleed

I think I need to find a bigger place
‘Cause when you have more than you think
You need more space

Society, you’re a crazy breed
I hope you’re not lonely without me
Society, crazy and deep
I hope you’re not lonely without me

There’s those thinking more or less less is more
But if less is more how you’re keeping score?
Means for every point you make
Your level drops
Kinda like it’s starting from the top
You can’t do that

Society, you’re a crazy breed
I hope you’re not lonely without me
Society, crazy and deep
I hope you’re not lonely without me

Society, have mercy on me
I hope you’re not angry if I disagree
Society, crazy and deep
I hope you’re not lonely without me

 

Trois huiles végétales intéressantes en S.A.F.

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Comme j’avais déjà commencé à l’évoquer dans mon premier article consacré à la saponification à froid il y a de cela un long moment maintenant, certaines huiles végétales me paraissent particulièrement intéressantes, voire indispensables, pour réaliser ses propres savons.
Trois d’entre elles retiennent particulièrement mon attention : l’huile d’olive, l’huile de ricin et l’huile de coco.
Je vous propose donc aujourd’hui de vous en dire un peu plus sur celles que j’utilise personnellement, leurs propriétés respectives, ainsi que la façon de les intégrer en saponification.

Le gros avantage de fabriquer ses savons soi-même, c’est bien-entendu de savoir précisément de quels ingrédients ils se composent. C’est l’occasion idéale de choisir exactement ce que l’on veut utiliser et d’éliminer toutes les substances potentiellement nocives.

Il est pour moi essentiel d’utiliser des huiles vierges de première pression à froid si l’on veut conserver toutes leurs propriétés.
Ce procédé garantit en outre que les huiles sont bien extraites de manière mécanique, sans être chauffées, ni entrer en contact avec divers produits. Car oui, pour des questions d’augmentation de rendement, cette méthode naturelle n’est pas systématique, et beaucoup d’huiles sont en fait extraites à l’aide de solvants ou en chauffant les graines. Ces méthodes appellent ensuite une étape de raffinage supplémentaire afin de rendre à l’huile une apparence et une odeur acceptables…

En plus de privilégier systématiquement des huiles vierges de première pression à froid, je choisis également toujours des huiles biologiques pour deux raisons : la première, c’est bien-entendu que je n’ai pas envie de me retrouver avec des substances toxiques dans l’organisme ; et la seconde, c’est qu’il me parait indispensable de soutenir l’agriculture biologique, seul modèle respectueux de la planète et de ses habitants. Nous votons tous les jours lorsque nous consommons, je crois donc qu’il est donc indispensable de voter de manière avisée.

Venons-en maintenant aux propriétés spécifiques de chacune de mes trois huiles fétiches ! Lire la suite

Tricoter plus éthique.

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Lorsque j’ai décidé d’apprendre à tricoter, il y a de cela environ cinq ans, je ne me posais pas du tout la question de la provenance des matières premières que j’utilisais. Comme en plus je ne tricotais que de manière très épisodique et assez anecdotique, j’avoue que je n’avais pas vraiment envie de chercher plus loin que ça pour 4 pelotes de laines par an.

La situation est bien différente aujourd’hui. Je ne conçois en effet plus vraiment de consommer quoi que ce soit sans me poser un minimum de questions. J’avais déjà effectué pas mal de recherches sur la laine utilisée pour fabriquer nos vêtements, du coup il était très illogique de ne pas élargir la réflexion à celle que l’on nous vend en pelotes. Même si tout ce que je fais est loin d’être parfait, ma réflexion est maintenant bien plus globale.

En parallèle, je me suis mise à tricoter beaucoup plus ces derniers mois, je viens également de commencer le crochet, et vais me mettre au tissage dans les semaines à venir maintenant que je suis équipée d’un magnifique métier offert par Monsieur Bio pour Noël !  Il était donc temps d’aller un peu plus loin sur le sujet.

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Même si je reste persuadée que le véganisme est le but vers lequel nous devrions tendre, à la fois d’un point de vue éthique et moral, mais également environnemental, j’en suis à titre personnel encore très loin (pour le moment ?). En effet, plutôt que Lire la suite

Premiers pas avec notre lombricomposteur.

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Pour Noël, Monsieur Bio et moi-même avons eu en cadeau un beau lombricomposteur.
La belle-famille était bien renseignée (!) et nous avons donc reçu le modèle que nous avions choisi parmi toutes les options disponibles : celui en bois fabriqué et commercialisé par la Boite à Terre.

Nos critères de sélection étaient les suivants :

  • pas de plastique
  • adapté à un usage intérieur
  • fabriqué en France

Cependant, aussi restreintes qu’aient été nos contraintes, seule la Boite à Terre y répondait parfaitement. En effet, tous les autres lombricomposteur d’intérieur, sans exception, sont en plastique. Nous aurions très bien pu fabriquer le notre nous-même mais sur ce coup-là, nous avons opté pour la facilité, et nous ne le regrettons pas !

Fabriqué à partir de Douglas issus de forêts gérées durablement, notre lombricomposteur s’intègre parfaitement à notre cuisine et je le trouve personnellement beaucoup plus chouette que ses équivalents en plastique ! Il se compose d’un support sur roulette qui fait office de fond, et de deux bacs carrés à empiler (pour le moment nous n’en utilisons qu’un seul).
Son encombrement est plutôt faible, il mesure environ 40×40 cm, et n’est pas plus haut qu’une poubelle de cuisine classique. Voici un petit schéma pour vous montrer à quoi il ressemble :

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Lorsque nous l’avons reçu, Lire la suite

Attaquer 2017 du bon pied !

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L’an dernier j’avais dressé un petit programme des choses que je souhaitais réaliser en 2016 et j’ai du coup pensé qu’il pourrait être intéressant aujourd’hui de prendre un petit moment pour se retourner sur cette année écoulée afin de voir ce que j’ai effectivement réussi à accomplir !
Il n’est pas toujours facile de voir le chemin parcouru tant qu’on est encore en train de le sillonner, du coup je trouve qu’établir un petit bilan permet de mesurer l’avancé déjà réalisée et d’ainsi préparer tranquillement la suite !

L’an dernier, quatre domaines d’action m’intéressaient particulièrement : la consommation, la réduction des déchets, la consommation énergétique, et enfin le sport.

Autant le dire tout de suite, le thème dont le bilan est le plus mitigé est celui de la consommation ! D’un côté, j’ai réussi à continuer sur ma lancée et à consommer raisonnablement, en évitant au maximum les achats d’impulsion et/ou inutiles et mon mois sans achat en février a encore bien fonctionné. Mais d’un autre côté, grâce ou à cause du blog (!), j’ai néanmoins fait entrer pas mal de choses chez moi qui ne me sont pas réellement nécessaires même si aucune d’elles ne dort totalement dans un tiroir (j’utilise presque tout et je donne ce qui ne me correspond pas à 100%).
Et en même temps, je dois bien reconnaitre que tester de nouveaux produits me plait, me permet d’affiner mes critères de sélection, et m’aide à trouver ce qui me correspond vraiment le mieux tout en vous faisant part d’un avis que j’espère pertinent.

Du côté de la réduction des déchets, j’ai bien progressé mais Lire la suite

L’épineux cas du cuir.

Cela fait longtemps maintenant que j’ai envie d’aborder la question du cuir par ici afin de recueillir un peu vos avis sur ce sujet, qui peut vite s’avérer épineux, voire polémique.

Autant vous le dire tout de suite, si je ne mange plus de viande, je porte néanmoins toujours du cuir alors que cela me semble totalement inconcevable de porter de la fourrure, même vintage… Paradoxe quand tu nous tiens !

Pour certains, fourrure et cuir sont deux choses bien distinctes, et cela ne leur pose aucun problème de boycotter l’une, tout en continuant de porter l’autre sans arrière-pensées.
Mais pour que les choses soient bien claires : une fourrure, ça n’est pourtant rien d’autre qu’un cuir sur lequel on a laissé les poils !

On entend également souvent que le cuir est un simple sous-produit de l’industrie de la viande et que tant que cette industrie existe, autant en utiliser toutes les productions (alors que pour la fourrure, l’élevage est fait spécifiquement dans le but de récupérer les peaux et uniquement les peaux).
C’est une position qui se défend mais ça n’est pas la mienne. Et pourtant, cette pratique de boycott de la fourrure d’un côté / port de cuir de l’autre, correspond très concrètement à ce que je fais actuellement, tout en ne trouvant pas ça cohérent du tout d’un point de vue éthique…

Si je fais ce choix pour le moment, absolument discutable si l’on se place du côté de la protection animale, c’est parce que Lire la suite

La Norvège serait-elle le pays le plus écolo du monde ?

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Comme l’indique le titre de ce billet (en forme de clin d’œil à un article très intéressant publié en août dans Courrier International), j’ai envie de vous parler un peu d’un pays que j’apprécie et dans lequel je m’apprête à retourner passer quelques jours : la Norvège, et plus particulièrement de ses engagements environnementaux.

En effet, alors que la France est par exemple à la peine pour atteindre ses objectifs en matière de progression des énergies renouvelables (le rapport détaillé est téléchargeable ici) et que le texte de la COP21 signé le 12 décembre dernier n’est pas encore entré en vigueur car de nombreux pays ne l’ont pas ratifié pour le moment, la Norvège semble, elle, avancer à pas de géant et prendre les devants sur différents sujets.

Déjà régulièrement classée parmi les pays les plus avancés en terme d’écologie, la Norvège fait désormais figure de pionnière sur un sujet sensible qui m’intéresse particulièrement, celui de la déforestation.  En effet, le parlement norvégien s’est officiellement engagé à éliminer des marchés publics nationaux les offres d’entreprises contribuant de près ou de loin à la déforestation (source : The Independant et Rainforest Foundation Norway). Bye bye l’huile de palme par exemple…
Dès septembre 2014 et le sommet de New York sur le climat, la Norvège avait d’ailleurs publié une déclaration conjointe avec l’Allemagne et le Royaume-Uni, en faveur d’un « engagement national encourageant des chaînes d’approvisionnement sans déboisement, y compris par le biais des politiques de marchés publics évitant les produits tels que l’huile de palme, de soja, le bœuf et le bois ».

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A côté de cela, le parlement norvégien a également adopté Lire la suite

Bref, j’ai (enfin) changé de banque !

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« Les économies, c’est comme l’orgueil : mal placées, ça peut faire des dégâts. »

Cette petite phrase, trouvée en introduction d’une BD publiée par le magazine Causette dans son numéro du moi de mai, confirme bien ce que nous soupçonnions tous plus ou moins depuis longtemps : les banques, grâce à l’argent que nous déposons chez elles, investissent dans divers projets dont elles ne nous disent bien souvent pas grand chose et dont nous ignorons du coup massivement les conséquences.

En partant du constat que faire des efforts dans mon quotidien, changer mes habitudes, mon rapport à la consommation, me tourner vers de nouvelles alternatives pour l’alimentation ou l’habillement etc… c’était déjà très bien, mais que je pouvais certainement essayer de voir un peu plus loin que ce sur quoi j’avais une prise directe et immédiate, j’ai commencé à m’interroger sur les pratiques de ma banque, et j’ai eu envie de savoir ce qu’elle faisait avec mon argent.

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  (Extrait de la BD publiée dans Causette.)

Il faut dire, que j’étais déjà très tentée de changer d’établissement bancaire suite à de nombreux petits problèmes, jamais graves, mais toujours énervants ! Entre la valse quasi constante des conseillers, les services imposés sans trop que je sache pourquoi ni comment (ah mais ça Madame c’étaient les anciens packs, on ne fonctionne plus comme ça alors je ne peux pas vous en dire plus), les frais prélevés pour tout et n’importe quoi alors que je suis une cliente modèle (un seul découvert, de moins 50 euros, à cause de leurs foutues dates de valeurs depuis l’ouverture de mon premier compte chez eux il y a plus de 20 ans…) Breeeeef ! Il y avait déjà de l’eau dans le gaz depuis un moment !

J’ai donc commencé à me renseigner un peu plus par mes propres moyens car en posant mes questions aux personnes concernées, les réponses tournaient souvent autour de choses du type « nous finançons beaucoup l’économie locale » (vous avez peut-être en tête les pubs du Crédit Agricole qui vont particulièrement dans ce sens et avec lesquelles on a presque l’impression de donner directement un coup de pouce à Robert pour qu’il ouvre sa boulangerie artisanale…), ou encore « les placements éthiques, ça ne marche pas » en ce qui concerne l’épargne. Oui, d’accord, mais concrètement mon argent alors il sert à quoi quand il est chez vous ?

C’est à ce moment-là que j’ai découvert le site Finances Responsables et que j’ai par exemple trouvé ces tableaux dans les petits guides élaborés par les Amis de la Terre (consultables ici et ) :

Votre banque est-elle climaticide ?banques_climaticides_tableau

Les projets controversés des banques françaises.projets_controverses

Et là, je n’évoque que l’impact sur le climat, pas vraiment les enjeux sociaux ou encore la présence dans les paradis fiscaux
Vous aurez donc compris que Lire la suite

Des idées pour la fête des mères !

Bonjour à tous ! Dans dix jours déjà ce sera la fête des mères. Si vous avez l’habitude de la célébrer (ce qui est mon cas), je vous propose aujourd’hui quelques petites idées pour faire plaisir à vos mamans !
Il y en a pour tous les goûts et toutes les bourses, et j’ai même sélectionné quelques tutos sympas pour que vous puissiez créer cadeaux et emballages de vos propres mains.

Comme d’habitude par ici, vous trouverez dans cette sélection des produits éthiques, souvent français, parfois artisanaux ou distribués par de petites boutiques, respectueux des hommes et de la planète !

C’est parti !

Si votre maman aime les beaux vêtements, les jolis accessoires, mais aussi la couture, voilà un foulard et un patron qui pourraient lui plaire : vetements

Pour une maman qui aime jardiner et décorer sa maison tout en prenant soin de la planète, voici un diffuseur d’huiles essentielles en bambou, un lombricomposteur et des outils de jardins éthiques et esthétiques ! Lire la suite